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L'effectif et objectif de Colombia pour le Giro



Avec une année d'expérience derrière elle, l'équipe Colombia fera son retour sur le Giro dans huit jours à Belfast avec un effectif composé pour deux tiers de coureurs déjà présents sur le Tour d'Italie il y a un an. 2ème aux Tre Cime di Lavaredo et 5ème au Galibier, Fabio Duarte sera le leader de la formation dirigée par Claudio Corti alors que Miguel-Angel Rubiano, ancien vainqueur d'étape à Porto Sant'Elpidio en 2012, réintroduira le maillot de champion de Colombie sur les routes du Giro. "Notre année d'expérience en plus devrait faire une vraie différence, estime Claudio Corti. Nos coureurs arrivent déjà mieux préparés. Notre principal objectif, après s'en être approchés l'an passé, sera la victoire d'étape." A noter que l'équipe, qui n'avait plus de nouvelles de ses passeports, a reçu ses premiers visas pour l'Irlande.

Colombia pour le Giro :

• Edwin Avila (COL)
• Robinson Chalapud (COL)
• Fabio Duarte (COL)
• Leonardo Duque (COL)
• Jarlinson Pantano (COL)
• Carlos-Julian Quintero (COL)
• Jeffry Romero (COL)
• Miguel Angel Rubiano (COL)
• Rodolfo Torres (COL)

http://www.velo101.com/pros/article/lactu-du-1er-mai--10044

Rodriguez doit inverser les rôles



Héros malheureux récurrent des courses de trois semaines, Joaquin Rodriguez va bientôt avoir 35 ans et court toujours après sa première victoire sur une compétition de ce type. Il pensait que le Giro 2014 serait une opportunité en or en l’absence de Vincenzo Nibali, mais Nairo Quintana a également sauté sur l’occasion. Face au Colombien, Purito ne part pas favori mais a, paradoxalement, des raisons d’y croire.

L’interminable quête d’un premier grand tour

Deux fois troisième, une fois quatrième, une fois sixième et une fois septième de la Vuelta, une fois deuxième, et une fois quatrième du Giro, une fois septième et une fois troisième du Tour, Joaquin Rodriguez culmine à neuf top 10 de grands tours, quatre podiums. Problème : il n’en a jamais gagné et aura 35 ans le 12 mai prochain. Pendant ce temps-là, Juan José Cobo en a remporté un, Ryder Hesjedal en a remporté un, Chris Horner en a remporté un… Purito n’a jamais trouvé l’ouverture, s’est parfois bien foiré alors que le succès lui tendait les bras, et cherche désespérément le schéma victorieux qui va débloquer son compteur. Comment faire ? Même quand en 2012, le Tour d’Italie n’avait pas été d’un niveau global extraordinaire, il n’avait pas su en profiter. Cela fait maintenant plusieurs années que l’Espagnol est en quête de la bonne formule et de la dose de chance qui va combler ses ambitions. Lesquelles sont assez variables : en 2010, il découvre le Tour, finit dans le top 10, mais n’y revient pas les deux années suivantes, doublant à chaque fois Giro et Vuelta. En 2013, il expérimente à nouveau l’enchaînement Tour-Vuelta. Cette saison, ce sera vraisemblablement Giro-Vuelta. Comme si son podium aux Champs Elysées, performance d’une grosse valeur pour un coureur qui est loin d’exceller dans la spécialité du contre-la-montre, correspondait au maximum qu’il pouvait atteindre en juillet, et que la priorité était à présent redevenue le gain d’une course de trois semaines. Peu importe laquelle. Cette consécration le fuit, mais cela fait aussi six années consécutives qu’il finit dans le top 10 de l’une de ces trois courses : le Catalan est un maître dans l’art d’arriver en forme au bon moment et livre toujours sa valeur maximale d’un point de vue purement physique. On est loin des échecs répétés de plusieurs coureurs présumés à tort grands spécialistes de ces compétitions. Lui, c’est une garantie de résultat. Mais pas de victoire finale, et là est le souci.

Deux hics : la présence de Quintana et la chute sur l’Amstel

En décidant de revenir sur le Giro en 2014, Joaquin Rodriguez jouait la sécurité. Vincenzo Nibali avait choisi de ne pas défendre son titre et de tout miser sur le Tour, sur lequel Christopher Froome, Alejandro Valverde et Alberto Contador allaient eux aussi miser. L’opposition allait être à la portée d’un Purito indéniablement plus fort qu’en 2012 quand il s’est fait avoir par Ryder Hesjedal. Et… Nairo Quintana a été annoncé leader de Movistar pour la course rose. L’équipe d’Eusebio Unzue a tardé à officialiser la nouvelle, la faute à des divergences d’objectifs entre le coureur, le staff et le sponsor, avant que la venue du Colombien soit finalement bel et bien actée. Dès lors, l’opportunité en or de Rodriguez s’évaporait : il y aurait bien un coureur théoriquement plus fort que lui, qui l’avait devancé l’an dernier sur le Tour de France, face à lui. Deuxième tuile : il chute sur l’Amstel Gold Race, après avoir pourtant été à la fois performant et économe en première partie de saison, remportant notamment le Tour de Catalogne contre un plateau d’excellente facture. Diminué pour la Flèche wallonne et Liège-Bastogne-Liège, il est absent des débats et doit se refaire une santé pour le Tour d’Italie. A aucun moment sa participation n’a été remise en cause, mais il est aujourd’hui impossible de savoir s’il sera à 100% au départ de Belfast, chaque impondérable survenant dans les deux semaines précédant une telle course pouvant facilement dérégler la machine. Il demeure l’un des candidats les plus crédibles à la victoire finale et aura certainement le temps de retrouver la totalité de ses sensations, mais c’est sans doute d’un peu plus que cela dont il aura besoin pour réussir ce qu’il n’a jamais réussi jusqu’à présent. Ne pas chuter aux Pays-Bas n’aurait pas été du luxe.

Deux plus : Il est plus frais que d’habitude et plus expérimenté que Quintana

Mais ces aléas pourraient lui être bénéfiques. Avant son Giro de 2012, il avait cumulé Majorque, Oman, Tirreno Adriatico, GP Indurain, Tour du Pays basque et les trois classiques ardennaises, à chaque fois en tant qu’acteur majeur. Programme identique en 2011. Tout pareil en 2009 avec la Ruta del Sol à la place du Tour d’Oman et même la Klasika Primavera en sus. C’est la première fois dans la carrière de Purito qu’il va disputer le Tour d’Italie sans avoir couru le Tour du Pays basque un mois plus tôt, préférant cette fois-ci s’inscrire sur le Tour de Catalogne, auquel il n’avait encore jamais pris part une année de course rose. Pas non plus de Tirreno Adriatico. Mais avant, un Tour de Dubai et un Tour de San Luis. Une approche nouvelle qui lui apporte plus de fraîcheur au départ du grand tour. Les pépins des Ardennaises s’ajoutent à cette planification, et s’ils sont désormais totalement oubliés, cela voudra dire qu’il démarrera son pic de forme pour le Giro, plutôt que de le finir, ce qui l’avait desservi il y a deux ans face à un Ryder Hesjedal arrivé au top pile poil pour la troisième semaine. Cette fois-ci, son adversaire principal, Nairo Quintana, sera plus coriace, et débarque lui aussi avec des cartouches plein les poches, n’ayant plus couru depuis le Tour de Catalogne pour rentrer en Amérique du Sud. Il l’avait déjà fait l’an passé pour le Tour, mais c’était plus tard dans la saison : la réaction de son organisme ne sera peut-être pas la même à cette période de l’année. Surtout, la donnée importante dans le challenge de Purito, c’est l’âge de Quintana. Il a pris la fâcheuse habitude de perdre contre des coureurs de sa génération, souvent plus expérimentés que lui, qui l’avaient à l’usure, comme Hesjedal, ou à l’inspiration tactique, comme Contador. Quintana a dix ans de moins que Rodriguez. Lui non plus n’a jamais gagné de course de trois semaines. Et c’est lui qui a le statut de grand favori. Il est peut-être temps d’inverser les rôles.

http://www.velochrono.fr/actu/2014/rodriguez-doit-inverser-les-roles/

Gesink opéré avec succès

Souffrant de tachycardie à l'effort depuis plusieurs années, Robert Gesink (Belkin) a fait l'objet d'un examen cardiologique approfondi. La cause du problème a été trouvée et traitée directement. Le coureur néerlandais va pouvoir reprendre l'entraînement après une période de repos et une consultation du staff médical de l'équipe Belkin. La date de son retour à la compétition n'a donc pas encore été décidée. "Je suis très heureux d'avoir mis ces moments d'insécurité derrière moi, a-t-il déclaré. Je vais entamer ma convalescence en toute confiance et avec l'espoir d'en savoir plus sur mon programme prochainement." Sur la touche depuis l'Amstel Gold Race, Robert Gesink avait révélé souffrir de ce trouble depuis plusieurs années mais s'était déclaré anxieux après une douleur intense survenue à la poitrine au cours du Tour du Pays Basque.

http://www.velo101.com/pros/article/lactu-du-7-mai--10077

Certainement la meilleure nouvelle de la journée.   
Qu'il prenne son temps pour revenir, mais surtout, qu'il laisse définitivement cette histoire derrière lui.

Rodriguez gêné par la pluie



Parmi les grands perdants du contre-la-montre par équipes, le Team Katusha de Joaquim Rodriguez a cédé 1'33" aux vainqueurs. Un désavantage que le directeur sportif José Azevedo a mis sur le compte des conditions météorologiques. "Une minute avant que nous partions, il s'est mis à pleuvoir, explique-t-il. Si vous regardez les temps de Movistar et Lotto-Belisol, partis avant nous, ils ne sont pas bons non plus. Ça fait la différence au final. Nous avons aussi dû attendre Vladimir Gusev après une chute dans un virage, ce qui nous a coûté quelques secondes de plus. C'est sûr que ce n'est pas ce que nous attendions. Nous avons perdu beaucoup de temps sur Cadel Evans et Rigoberto Uran, mais nous croyons en Joaquim et nous ne sommes qu'au premier jour."

http://www.velo101.com/pros/article/tour-ditalie-la-gazette-du-giro--10099

Julian Arredondo vise l'étape de Montecassino

Sur ce 97ème Tour d’Italie, il y aura 14 coureurs colombiens dont un certain Julian Arredondo. Après un très bon début de saison marqué par deux victoires d’étape sur le Tour de San Luis et un top 5 sur le Tirreno Adriatico, il se présente au départ du Giro, son premier grand tour, avec ambition. Le coureur de la formation Trek Factory Racing se sent en forme : "Le Giro d’Italia sera ma première course de trois semaines et je dois dire, je me sens très bien physiquement, malgré mes problèmes de visa. Je vais tout donner et je reste confiant sur les futurs résultats", affirme-t-il auprès de nos confrères de Café Roubaix.

Il a étudié le tracé de cette 97ème édition et vise une étape en particulier : "C’est un Giro assez difficile. J’ai regardé le tracé et il y a beaucoup d’étapes qui attire mon attention, en particulier celle de Montecassino, avec une ascension finale de 8 kilomètres. Quoiqu’il en soit, je suis détendu."

La formation Trek misera, pour le classement général, sur le Croate Robert Kiserlovski : "Mon rôle est d’aider mon équipe, mon leader Kiserlovski et tenter de gagner une étape. Je ne sais pas si je vais pouvoir jouer le maillot du meilleur grimpeur, mais mon objectif principal reste de gagner une étape."

http://www.cyclismactu.net/news-giro-julian-arredondo-vise-l-etape-de-montecassino-40302.html

Le succès d'Engoulvent



L'ultime étape des 4 Jours de Dunkerque, longue de 177 kilomètres entre Saint-Pol-sur-Mer et Dunkerque, se déroulait ce dimanche. Elle offrait un terrain de jeu favorable aux sprinteurs, et donc à Démare. Mais au final, c'est le Français Jimmy Engoulvent (Team Europcar) qui s'est imposé devant Romain Zingle (Cofidis).

http://www.cyclismactu.net/news-4-jours-de-dunkerque-le-succes-d-engoulvent-video-40391.html

Fabio Duarte leader ambitieux de la Colombia

Fabio Duarte a pris le départ, ce vendredi, de son 3ème Tour d’Italie. Le leader de la formation Team Colombia a pris de la confiance lors de ces derniers jours, notamment avec sa 4ème place sur le Tour de Trentin et a passé sans encombre les trois premières étapes du Giro sur le sol irlandais. Il arrive en Italie avec 1’37’’ sur le leader, Michael Matthews (Orica GreenEDGE Cycling Team), mais 1’18’’ sur son premier rival, Rigoberto Uran (Omega Pharma-Quick Step).

"Je ne vais pas nier que je voudrais bien faire au général, mais mon premier objectif est de décrocher une victoire d’étape, choses que je n’ai pas pu réaliser sur mes deux dernières participations (il a pris la 2ème place à deux reprises sur un étape du Giro 2011 et un du Giro 2013, ndlr)", explique-t-il à nos confrères de Café Roubaix. "Je vais devoir rester concentré pendant les trois semaines et essayer de bien faire chaque jour. Le Giro est une course difficile, chaque étape sera importante, mais l’arrivée en haut du Zoncolan restera le point décisif de ce Giro."

S’il avait une étape à remporter, ce serait la numéro 15 : "L’arrivée à Montecampione me tient à cœur car j’évoluerai un peu chez moi, mais sinon l’étape de Zoncolan car cela signifierait que je joue la gagne pour le classement général."

http://www.cyclismactu.net/news-giro-fabio-duarte-leader-ambitieux-de-la-colombia-40379.html

Robert Gesink est de retour sur le vélo



Un peu moins d'une semaine après une opération au cœur, le Néerlandais Robert Gesink est déjà de retour sur le vélo ! En effet, le coureur de l'équipe Belkin est venu, sur son vélo, assisté à l'arrivée de l'Olympia Tour, ce mardi. "Je me sens très bien. Surtout qu'on m'a dit que j'avais 95 % de possibilités de ne pas revenir. J'espère participer au prochain Tour d'Espagne. Mais d'abord, il faut retrouver la forme", a-t-il expliqué aux journalistes présents sur place.

http://www.cyclismactu.net/news-infirmerie-robert-gesink-est-de-retour-sur-le-velo-40424.html

Voilà ce que disaient nos coureurs avant l'étape du jour...

J. Arredondo : "Je vais essayer de nouveau"

Les puncheurs ont eu l'occasion de se mesurer lors de la 5ème étape du Tour d'Italie remportée par Diego Ulissi. Julian Arredondo, pour sa première année au haut niveau, a montré une aisance pour les arrivées en costaud. Dans la roue de Joaquin Rodriguez, le coureur de l'équipe Trek Factory aurait bien voulu goûter aux joies de la victoire sur un Grand Tour. Peut-être dans les jours à venir ?

"Je suis très heureux de cette troisième place", a déclaré Arredondo. "Cela me donne beaucoup de confiance pour les prochaines étapes, et demain (aujourd'hui) est une autre bonne étape pour moi. Je vais essayer de nouveau. Je n'ai pas attaqué : j'ai attendu, et j'ai attendu dans les roues. Lorsque Purito (Joaquin Rodriguez) a attaqué, je me suis calé dans sa roue. A la fin j'ai tout donné mais Diego Ulissi était le plus fort aujourd'hui. Je suis heureux, tout s'est assez bien passé. Mais la caractéristique de la course de demain (aujourd'hui) me convient mieux."

En début de saison, le grimpeur Colombien s'est illustré lors du Tour de San Luis où il a remporté deux victoires. Il s'est aussi montré sur les routes italiennes de Tirreno-Adriatico où il a fini cinquième au final. Puis plus récemment sur les classiques ardennaises où il s'est montré offensif.

http://www.cyclismactu.net/news-giro-j-arredondo-je-vais-essayer-de-nouveau-40463.html

Joaquin Rodriguez : "Une occasion manquée"

La formation Katusha Team a mené le peloton dans le final de l’étape 5 du Tour d’Italie, mais Joaquin Rodriguez n’a pas eu la force de remporter cette première étape pour puncheur. Le coureur espagnol passe la ligne à la 7ème place, dans le même temps que le 2ème, Cadel Evans (BMC Racing Team), qui finit à 1 seconde du vainqueur Diego Ulissi (Lampre Merida). "L’équipe a réalisé un gros travail. Tout le monde a parfaitement travaillé. J’aurai peut-être dû attaquer plus tôt, mais c’était difficile de juger avec le vent notamment. Le final était tracé pour moi, mais c’est une occasion manquée. J’aurai pu faire mieux en tout cas..."

Pour le directeur sportif José Azevedo, il reste encore beaucoup d’occasions. "On est qu’au début du Giro, il reste encore beaucoup d’étapes pour Rodriguez. Il faut qu’on garde cette motivation et cette envie de bien faire."

http://www.cyclismactu.net/news-giro-joaquin-rodriguez-une-occasion-manquee-40472.html

Joaquin Rodriguez, blessé, jette l'éponge...



La 6ème journée du Giro a été terrible pour certains coureurs... En effet, les routes glissantes et un peloton nerveux ont entraîné de nombreux hommes au sol. La chute collective à 10 kilomètres de l'arrivée a fait des dégâts, et notamment du côte de la Katusha. Déjà sur la route avec une fracture du scaphoïde, Giampaolo Caruso a une nouvelle fois goûté le bitume. Mais cette fois, c'est plus grave. L'Italien a été évacué en ambulance et va subir une batterie d'examens, tout comme son coéquipier Angel Vicioso. Les deux coureurs ont dû quitter la course. Le leader de l'équipe russe, Joaquin Rodriguez, est lui aussi tombé... Il a cependant fini l'étape, avec plus de 7' de retard sur la vainqueur du jour, Michael Matthews (Orica GreenEDGE), mais souffre de deux fractures : une au pouce de la main gauche et une autre de la 8ème côte, sur le côté gauche. Joaquim Rodriguez ne prendra pas le départ de la 7ème étape, ce vendredi.

http://www.cyclismactu.net/news-giro-joaquin-rodriguez-blesse-jette-l-eponge-40495.html

Rodriguez : "Pas d'autre choix que d'arrêter"



Joaquin Rodriguez a dû jeter l'éponge sur le Giro, après s'être blessé. "Cette histoire est terminée. Merci à tous pour vos messages, vraiment. Je me tourne maintenant vers le Tour et je suis de tout coeur avec Angel Vicioso. Bonne chance mon frère !", déclare l'Espagnol sur son compte Twitter.

"Ça me peine de quitter le Giro mais je n'ai pas le choix. Après la chute, je suis remonté immédiatement sur mon vélo. J'étais motivé. Mais après quelques kilomètres, j'ai senti qu'il y avait un problème, je ne pouvais plus respirer. Avant le Giro, je m'étais fracturé des côtes. Je n'ai pas voulu en parler pour le cacher à mes adversaires mais maintenant, je me suis cassé une autre côte et je dois m'arrêter".

Purito s'était en effet blessé lors de sa chute sur l'Amstel Gold Race. "Après l'Amstel, j'ai beaucoup souffert et j'ai travaillé dur pour arriver en bonne condition sur le Tour d'Italie. Le début du Giro n'était pas facile. J'avais mal lors du contre-la-montre par équipe. Mais hier, je me sentais un peu mieux. Je suis donc très déçu de devoir arrêter".

http://www.cyclismactu.net/news-giro-rodriguez-pas-d-autre-choix-que-d-arreter-40516.html

Duarte: "Je peux me battre avec les meilleurs"



Si beaucoup de coureurs ont été pris dans la chute lors de la 6ème étape du Giro, pour Fabio Duarte, les choses se sont mieux passées. 10ème de l'étape, le Colombien assure être satisfait de sa condition physique et de l'appui de ses coéquipiers. Dans un communiqué de presse de son équipe, Team Colombia, le coureur explique : "Je suis très heureux de la façon dont s'est déroulée cette étape et mon équipe a fait un excellent travail en me soutenant dans les moments-clés. Les conditions météorologiques étaient difficiles, mais j'ai prouvé que je pouvais être compétitif et me battre avec les meilleurs coureurs du peloton".

http://www.cyclismactu.net/news-giro-duarte-je-peux-me-battre-avec-les-meilleurs-40517.html

R. Gesink, opéré du coeur, espère y participer

Opéré récemment du coeur, Robert Gesink pourrait pourtant bien participer au Tour de France cette année. Le coureur de Belkin a en effet repris doucement l'entraînement, et se sent motivé pour prendre le départ de la Grande Boucle, même si cela dépendra bien sûr de sa convalescence. "Ces quatre derniers jours, je me suis entraîné. J'ai même pu faire une sortie de trois heures et demies. Tout va plutôt bien", déclare-t-il à De Telegraaf.

Le Néerlandais reprendra donc le vélo crescendo en participant à un stage en Sierra Nevada à la fin du mois de mai. "Je partirai avec une partie des coureurs sélectionnés pour le Tour de France. Cela ne signifie pas que je ferai le Tour mais je ne l'exclus pas. Cela dépendra du résultat de tests de forme physique".

http://www.cyclismactu.net/news-tdf-r-gesink-opere-du-coeur-espere-y-participer-40518.html

Ne pas griller les étapes surtout... C'est sympa de le voir aussi motivé, mais attention au contrecoup.  

Diego Rosa : "Je sais de quoi je suis capable"

Diego Rosa, pensionnaire de la formation Androni Giocattoli, est actuellement présent sur le Tour d'Italie. Après une bonne semaine de course, le coureur italien, 5ème l'an passé de la Route du Sud et 23ème du Giro, se concentre sur les prochaines étapes qui seront décisives pour le général. "J'espère que tout se passera bien ces prochains jours. Franco (Pellizotti) et moi-même, on s'est entrainé sérieusement pour ce Giro", affirme-t-il à nos confrères de Café Roubaix. "L'idée, est de faire le mieux que l'on peut sur chaque étape tout en gardant un oeil sur le général."

Le coureur de 25 ans est l'un des espoirs de l'Italie. Il espère confirmer sa bonne saison 2013 ainsi que montrer à son manager, Gianni Savio, qu'il ne s'est pas trompé en le recrutant et en le conservant en 2014. "Ce Giro est plus difficile que celui de l'an passé, même si on a droit à trois jours de repos. Certaines étapes sont vraiment dur sur le papier. Mais je sais de quoi je suis capable. Je suis un grimpeur et j'espère faire quelque chose en montagne."

http://www.cyclismactu.net/news-giro-diego-rosa-je-sais-de-quoi-je-suis-capable-40530.html

Arredondo : "Je suis très déçu, c'est la course"



Ce samedi, Julian Arredondo (Trek Factory Racing) s’est mis en évidence lors de la huitième étape du Tour d’Italie qui s’achevait au Montecopiolo. Le Colombien est d’ailleurs resté en tête jusqu’à 2,5 kms de l’arrivée, lieu où Pierre Rolland (Team Europcar) l’a rattrapé pour ensuite lui fausser compagnie.

"Je suis venu au Giro pour gagner une étape et cet objectif n’est toujours pas accompli, souligne Arredondo sur le site web de sa propre formation."Aujourd’hui (samedi), je n’étais pas loin de la victoire. Je suis très déçu mais c’est la course. D’abord, je suis ici pour aider Robert (Kiserlovski) puis quand j’ai l’opportunité de partir, je la saisis. Après tout, je suis content de ma journée, c’est toujours agréable de porter le maillot de la montagne. Je vais essayer de le garder le plus longtemps possible", conclut-il.

http://www.cyclismactu.net/news-giro-arredondo-je-suis-tres-decu-c-est-la-course-40568.html

J. Arredondo : "Un gros effort pour le maillot"



En engrangeant les points lors des ascensions, Julian Arredondo s'est assuré de conforter son leadership au classement de la montagne du Giro. "C'était un gros effort et maintenant, je suis vraiment fatigué. C'était une journée longue et chaude. Dans les derniers kilomètres, Riccardo [Zoidl] a travaillé pour moi pour me préparer la sprint mais je n'avais plus de forces", explique le coureur de Trek Factory dans un communiqué de presse.
Néanmoins, le Colombien ne perd pas de sa motivation et assure : "Je suis très motivé car tout les Colombiens me suivent. Pour eux, je dois donner le meilleur de moi-même. Je suis donc très heureux d'avoir le maillot de meilleur grimpeur et d'avoir pris tous les points mercredi. C'est important pour moi".

http://www.cyclismactu.net/news-giro-j-arredondo-un-gros-effort-pour-le-maillot-40694.html

Plutôt la Vuelta que le Tour pour Rodriguez ?

Joaquim Rodriguez vit une saison 2014 difficile... L'Espagnol, qui compte déjà 33 jours de course cette année, n'a levé les bras qu'à deux reprises : sur le Tour de Catalogne. Depuis son bon "Tour régional", le Catalan va de galère en galère, et d'abandon en abandon. En effet, il a d'abord été victime d'une chute sur l'Amstel Gold Race. Celle-ci lui avait fracturé des côtes, et avait pourri une de ses périodes préférées de l'année, celle des Ardennaises. Après ce mauvais passage, le coureur de la Katusha pensait pouvoir être bel et bien présent sur le Tour d'Italie, l'objectif de sa saison 2014, mais une autre chute l'a, à nouveau, contraint a abandonné la course au maillot rose... Cette nouvelle chute, arrivé sur la 6ème étape du Giro, lui avait fracturé le pouce de la main gauche et une autre côte...

Opéré avec succès, Rodriguez se tourne désormais vers la suite de sa saison, qu'il espère plus souriante. Peu après son abandon, il affirmait vouloir viser le Tour de France, mais la longue récupération qui l'attend pourrait bien le faire changer d'avis... En effet, Viatcheslav Ekimov, un des gestionnaires de l'équipe Katusha, a expliqué que le prochain gros objectif de Rodriguez serait sans aucun doute le Tour d'Espagne : "La Vuelta a été, et est désormais, le prochain grand objectif de Rodriguez. À la lumière de la situation, sa participation au Tour ne peut pas être exclue, mais tout dépendra de son rétablissement".

Dans un communiqué de presse, Joaquim Rodriguez a enfin expliqué : "Il faut accepter ce qui s'est passé, et continuer à regarder vers l'avant. Il faut désormais se concentrer sur ce qui reste de la saison. Je ne vais pas commencer une course si je ne suis pas 100 %. Ce n'est pas le bon moment pour parler du Tour. Parler de ça maintenant, ce n'est que pure spéculation".

http://www.cyclismactu.net/news-2014-plutot-la-vuelta-que-le-tour-pour-rodriguez-40653.html

Pas plus mal... Tout ce qu'il risquait de gagner sur le Tour, c'était une autre cabriole.

Tour d'Espagne - Le Néerlandais R. Gesink au départ

Robert Gesink semble se remettre rapidement de son opération du cœur subie au début du mois. De retour sur le vélo, il est désormais plein d'ambitions. Le coureur de l'équipe Belkin a déclaré qu'il prendrait part aux championnats nationaux le 29 juin et a affirmé à "NOS" qu'il sera au départ du Tour d'Espagne sans d'ailleurs exclure une éventuellement participation au Tour de France.

Aujourd'hui, Gesink est parti dans la Sierra Nevada pour un camp d'entraînement où il sera accompagné de Bauke Mollema qui sort tout juste du Tour de Norvège lors duquel il a remporté une étape.

http://www.cyclismactu.net/news-tour-d-espagne-le-neerlandais-r-gesink-au-depart-40844.html

Fabio Duarte termine 2ème : "J'étais très fort"



La formation Team Colombia n’est pas passée loin de la victoire ce weekend sur les deux étapes de montagne. Ce samedi, Jarlinson Pantano a pris la troisième place à Oropa et ce dimanche, Fabio Duarte a été offensif dans l’ascension finale et a terminé à 21 secondes du vainqueur du jour, Fabio Aru (Astana Pro Team). "Bien évidemment que j’aurais préféré gagner. Je pense que j’étais très fort aujourd’hui (dimanche), mais cela n’a pas suffit. Je voulais gagner cette étape, pour ma famille, ma fille mais aussi toute l’équipe car nous évoluons à domicile. Mais je dois l’avouer, Aru a réalisé une très belle montée. Quant à moi, c’est un résultat qui me donne beaucoup de confiance pour la dernière semaine de course", explique le Sud-américain dans un communiqué de presse.

Duarte occupe ce lundi la 19ème place du général, à 14 minutes et 46 secondes de son compatriote Rigoberto Uran (Omega Pharma-Quick Step), leader depuis la douzième étape.

http://www.cyclismactu.net/news-giro-fabio-duarte-termine-2eme-j-etais-tres-fort-40833.html

Arredondo et l'explosion du cyclisme colombien

Joli Tour de Colombie… euh pardon, Tour d’Italie ! Auquel nous assistons. Le Giro est devenu depuis l’an passé la terre d’expression des Colombiens. Rigoberto Uran deuxième l’an passé, Carlos Betancur, cinquième et meilleur jeune, avaient ouverts la voie, avant la deuxième place de Nairo Quintana au Tour de France. Cette année le Giro n’est pas terminé et nous en sommes à trois victoires d’étapes Colombiennes avec trois coureurs différents, et un maillot rose, relativement solide, sur les épaules de l’un de ces trois vainqueurs d’étape, Nairo Quintana. Ce jeudi, sur les pentes de Rifugio Panarotta, c’est Julian Arredondo, âgé de 25 ans, qui a pris l’échappée puis est allé s’imposer en solitaire, dans cette nouvelle arrivée en haute altitude.

« C’était mon objectif depuis le début de l’année que de gagner une étape sur ce Giro. Je voulais attaquer dès le pied de la dernière montée, après avoir passé les premiers cols en tête pour les points. Mais Josu Larrazabal, mon entraîneur, m’a dit de rester tranquille et d’attendre. Quand je me suis retrouvé à l’avant avec Fabio Duarte (ndlr : un autre Colombien, de l’équipe Colombia), il m’a demandé de rouler à un rythme régulier. Mais dans l’oreillette, Josu m’a dit « Maintenant Julian ! » Alors je l’ai fait en me disant que je verrai ce qu’il se passerait. Et je suis arrivé seul sur la ligne d’arrivée… c’est un rêve qui se réalise. Josu m’a donné la patience et la maîtrise nécessaire. Je lui dédie cette victoire. »



Un Giro pas toujours simple… et finalement une double récompense

En plus de la victoire d’étape, Arredondo, pour sa première année en World Tour et son premier grand Tour, porte également le maillot bleu de leader de classement de la montagne avec une très solide avance sur son poursuivant direct. « C’est une double célébration pour moi. Avant aujourd’hui, on m’avait demandé ce que je voulais le plus, la victoire d’étape ou le maillot bleu, j’ai répondu les deux ». Pourtant tout n’a pas toujours été « rose »… « Il y a deux jours au Stelvio, j’ai failli abandonner. J’étais tellement mal, je pensais que je finirai dernier. Alors Josu m’a mis dans la voiture, m’a réchauffé et m’a donné le courage de repartir. »

« Personne ne me voulait dans son équipe »

C’est son premier grand Tour et pour cause… Il n’a jamais été, avant cette année, dans une équipe participant à un grand Tour. « J’ai eu des moments difficiles dans ma carrière. J’étais sixième du classement Espoirs en Italie mais personne ne me voulait dans son équipe. J’ai appelé l’équipe Colombia qui m’a dit qu’elle rappellerait. J’attends toujours… Et puis Andrea Tonti m’a appelé. Il m’a dit de lui faire confiance et de courir pour son équipe (ndlr : le Team Nippo). Petit à petit, j’ai grimpé, j’ai travaillé très dur et finalement l’équipe Trek m’a offert le calme et la sécurité. Maintenant j’ai démontré que je pouvais performer et que j’avais su placer ma confiance dans les bonnes personnes. Mais cette victoire n’est pas un achèvement. C’est le début de bonnes choses à venir ! »



L’explosion du cyclisme Colombien

Sur ce Giro, on parle presque plus Espagnol qu’Italien. C’est bien sûr un peu exagéré, mais le nombre de médias Colombiens est assez impressionnant. Une émulation globale. En Colombie, ça fait les gros titres de l’actualité en même temps que nous sommes dans l’entre deux-tours de l’élection présidentielle. Bien sûr, les succès Colombiens ont aussi été repris par la classe politique, notamment le camp du gouvernement en place qui met en avant cette réussite. Mais c’est surtout, une grande source de fierté et des moments d’émotions pour la Colombie. La course n’est diffusée que par ESPN Argentine, qui est payante et loin d’être diffusée sur tout le territoire. Avec le décalage horaire, les étapes ont lieues dans la matinée, donc à une heure de travail. C’est donc via la radio que se fait le plus gros de la retransmission. Chaque jour sur la ligne d’arrivée, Hector Urrego (également fondateur du site et magazine Mundo Ciclistico) retransmet la coure en direct, « à l’ancienne », dans tout le pays pour la radio nationale (RCN), tandis que la Télé nationale interview ses champions pour le journal du midi.

Le cyclisme est depuis longtemps la plus grosse source de récompenses internationale sportives en Colombie. Et l’éclosion de ces nouveaux champions Colombiens n’est pas dû au hasard, comme nous l’explique Arredondo : « C’est le résultat d’un processus. Le gouvernement a mis de l’argent pour développer le cyclisme Colombien, avec des coureurs comme moi, Rigoberto Uran, Carlos Betancur, Sergio Henao… et Nairo Quintana qui est sur la voie pour la victoire. Il y a aussi l’équipe Colombia. Tout cela est le résultat de ce programme dont j’ai pleinement profité. Je dédie donc cette victoire aussi à tous ceux qui ont cru en moi quand je n’étais personne. »

http://www.cyclismactu.net/news-giro-arredondo-et-l-explosion-du-cyclisme-colombien-40957.html

Duarte : "Nous méritons vraiment une victoire"



La Team Colombia tourne autour. Fabio Duarte aussi. S'ils animent de belle manière le Tour d'Italie depuis le départ d'Irlande, les coureurs de la formation sud-américaine n'ont toujours pas réussi à accrocher un succès malgré leurs tentatives incessantes. Jeudi, lors de la 18ème étape, c'est donc le leader de l'équipe qui a essayé, en se glissant dans l'échappée matinale. Bien vu, sauf que dans l'ultime ascension vers le Rifugio Panarotta, son compatriote Julian Arredondo (Trek), porteur du maillot de meilleur grimpeur, s'est montré plus fort et l'a devancé de 17" sur la ligne. Deuxième place de deux pour Duarte sur ce Giro :

"Chapeau à Arredondo, qui a été très bon aujourd'hui, mais c'est dommage pour nous, car je pense que la performance de notre équipe sur ce Giro mérite vraiment une victoire d'étape" a-t-il confié sur le site officiel de la Colombia. "Je me sentais bien aujourd'hui (hier), et j'ai essayé de rouler intelligemment jusqu'à qu'on ne soit plus que deux, Arredondo et moi. Aujourd'hui (hier), il a levé les bras sur la ligne d'arrivée, mais nous allons essayer de nouveau. Il reste peu d'opportunités, mais nous n'abandonnerons pas jusqu'à que ce soit terminé."

http://www.cyclismactu.net/news-giro-duarte-nous-meritons-vraiment-une-victoire-40975.html

A. Fonseca : "On s'est trop regardé"



Armindo Fonseca a pris la 3ème place du Grand Prix de Plumelec Morbihan (1.1) ce samedi, juste derrière un duo de la Cofidis, solutions crédits formé par Julien Simon et Luis Angel Mate. Fonseca, 3ème plus tôt dans la saison du Tour du Finistère et 5ème de la Drôme Classic, revient sur son résultat : "On est sorti à neuf dans la bosse dont Thomas Voeckler. Derrière, j’ai vu que ça revenait fort donc j’ai relancé. On s’est trop regardé. Je suis un peu déçu. J’ai du reboucher deux trous pour le sprint, et c’est cet effort là qui a payé. J’ai manqué de forces pour sprinter après. C’est comme ça. Je suis satisfait du résultat pour une reprise. J’avais coupé quatre semaines. Je suis content de voir que la forme est là. Demain il y a Châteaulin... L’année dernière j’avais terminé troisième. C’est une course où il faut vraiment être très vigilant. J’espère que j’aurai bien récupéré. Réponse demain !", déclare-t-il dans un communiqué de presse de l’équipe Bretagne Séché Environnement.

http://www.cyclismactu.net/news-gp-plumelec-a-fonseca-on-s-est-trop-regarde-41031.html

Julian Arredondo : "Un rêve se réalise pour moi"



Vainqueur du classement de la montagne, Julian Arredondo fut l’une des révélations du Giro. Avec une victoire d’étape et le maillot bleu à son compteur, le coureur de Trek Factory "réalise un rêve". "J’ai réussi à faire ce que je voulais et j’ai travaillé dur pour ça. Je visais ce résultat depuis le début de ma saison. Maintenant que j’ai atteint mes objectifs, je peux m’en fixer d’autres. Je suis heureux de gagner une étape et le maillot mais ce n’est pas tout. En tant qu’équipe, nous avons montré que nous étions unis et avons terminé le Giro à 9. C’est super de pouvoir partager cette expérience tous ensemble", déclare-t-il à Biciciclismo.

Le Colombien est également ravi de voir des coureurs porter haut les couleurs de son pays. "Les Colombiens ont fait 1 et 2 au général, meilleur grimpeur et meilleur jeune. Et nous sommes tous très jeunes. On peut donc espérer de belles choses pour le futur. C’est quelque chose d’historique".

http://www.cyclismactu.net/news-giro-julian-arredondo-un-reve-se-realise-pour-moi-41110.html

Jimmy Engoulvent vainqueur du prologue



Jimmy Engoulvent (Team Europcar) a remporté ce jeudi soir le prologue des Boucles de la Mayenne (2.1), disputé sur 4.5 kilomètres dans les rues du centre-ville de Laval. Il a devancé Florian Sénéchal (Cofidis) et Mathieu Van der Poel (BKCP-Powerplus). Jimmy Engoulvent s'empare donc du premier maillot jaune de leader de cette 40e édition. Retrouvez ci-dessous sa réaction recueillie par www.directvelo.com.



« J'étais venu ici pour gagner. C'est la deuxième fois que je remporte ce prologue. Je sais qu'il faut beaucoup de circonstances favorables pour s'imposer. Il faut être dans un bon jour, prendre les bonnes trajectoires.... Je sentais que j'avais des bonnes jambes ces derniers jours. Ça se joue à peu de choses mais une demi-seconde suffit pour l'emporter. J'ai l'habitude que ce soit serré sur ce genre de prologue très court. Derrière, nous avons pu voir que des jeunes coureurs poussaient. Maintenant, nous allons essayer de garder le maillot, avec moi ou un autre coureur de l'équipe... L'essentiel est de pouvoir gagner la course. Il y a aussi beaucoup de coureurs qui sont en embuscade. Il faudra bien courir si on veut aller au bout. »

http://www.directvelo.com/actualite/34548-boucles-de-la-mayenne-prologue-la-reaction-du-vainqueur.html#.U5Hs7vl_uTI

A. Fonseca tient sa victoire



Armindo Fonseca (Bretagne-Séché Environnement) s'est imposé ce vendredi lors de la 1ère étape des Boucles de la Mayenne (2.1), disputée sur 197 kilomètres entre Saint-Berthevin et Bonchamp-les-Laval. Il a devancé au sprint l'Italien Matteo Belli (Nankang-Fondriest) et le Néerlandais Mike Teunissen (Rabobank Development). Ce dernier s'empare du maillot jaune de leader du classement général. Retrouvez ci-dessous la réaction d'Armindo Fonseca, recueillie par www.directvelo.com.

« On savait qu'il fallait être présent dans les échappées. Il ne fallait pas qu'on les loupe pour ne pas avoir à rouler. En début de course, on avait Anthony Delaplace devant. Si des groupes ressortaient, c'était à moi de les accompagner. C'est ce que j'ai fait.
Quand on est rentré sur le groupe de tête, Anthony m'a dit qu'il allait rouler pour moi et que j'allais gagner. Il avait confiance en moi et a fait un gros travail. Il a repris toutes les attaques. Il m'a dit que si on basculait au dernier grimpeur avec lui, j'étais sûr de gagner. Il a tout fait pour que le groupe de contre-attaque ne rentre pas non plus. Dans ce groupe, il y avait plusieurs sprinteurs.
Je me méfiais de Kévin Seeldraeyers qui était très fort, mais également de tous les coureurs du groupe, parce que c'était un sprint particulier. On a bataillé toute la journée, ce n'était pas facile.
Je suis content, parce que c'est une victoire d'équipe. Sans Anthony Delaplace, je pense que je ne gagnais pas. J'avais fait beaucoup de places sur les podiums, mais je n'avais encore pas gagné. J'avais besoin de cette victoire pour me délivrer.
Maintenant, notre objectif sera de gagner le classement général avec Arnaud Gérard ou Anthony Delaplace. Ce ne sera pas facile, mais on va se battre. Demain, on verra ce que ça donne. Il faudra ne pas avoir de remord. »

http://www.directvelo.com/actualite/34569-boucles-de-la-mayenne-et-1-la-reaction-du-vainqueur.html#.U5LO8_l_uTI

Robert Gesink ne sera pas au départ du Tour

Les espoirs de Robert Gesink (Belkin) d'être au départ du Tour de France sont restés vains. Le Néerlandais ayant souffert de problèmes cardiaques au printemps ne verra pas Leeds. De retour d'un stage à la Sierra Nevada, l'équipe Belkin a jugé cette décision plus prudente. "Ma participation au Tour de France était une possibilité, mais la réalité dans ces moments avant et après l'opération est extrêmement dure, souligne Gesink. Il ne serait pas sage de me préparer pour la course la plus importante de l'année de manière forcée. Pour prendre le départ du Tour, il faut être au top de sa forme et je ne suis pas convaincu de l'être." Le Batave retrouvera cependant le chemin de la compétition au Ster ZLM Toer du 18 au 22 juin, soit un mois et demi après son opération au cœur consécutive à ses problèmes de tachycardie. Il participera en revanche au Tour de Pologne dans le but de préparer le Tour d'Espagne.

http://www.velo101.com/pros/article/lactu-du-10-juin--10325