Nos objectifs pour 2009

Prendre du plaisir avant tout !!!!!!!

Mais également remonter en D1 et je pense que LCG en a le potentiel avec un fort collectif sans superstar !!!

Clairement, j'espère jouer les 1ers roles dans les Classiques du Nord avec une équipe très homogène :

ARVESEN Kurt-Asle (P1)
GOUSSEV Vladimir (P1)
HAMMOND Roger (P3)
SCHEIRLINCKX Staf (P4)
SENTJENS Roy (P4)
VAN HUMMEL Kenny Robert (P4)
BACKSTEDT Magnus (P5)
KLIER Andreas (P5)
LJUNGQVIST Marcus (P5)
SIJMENS Nico (P5)
BODROGI Laszlo (V1)

Let's run

Après des saisons 2006 et 2007 ratées, je souhaite confirmer ma performance de la saison dernière. Je suis totalement satisfait du recrutement, on va viser un top 5... J'espère voir par ailleurs Jérôme Coppel franchir un gros palier !

je vise de bonnes perfs sur les grands tours et je souhaite voir encore une evolution des coureurs qui me suivent deja depuis longtemps notamment mark cavendish

Voici le tableau proposé par Jaja au début de la saison 2008.
Les classements virtuels des deux divisions.
En gras, le rang final.

Rang Manager Division Points 2007 - D1

1- Master-Striker D1 8'548 >>> 5e
2-On3 D1 6'162 >>> 1er
3-Christicyc D1 5'804 >>> 2e
4-Frangin D1 5'615 >>> 7e
5-jackybrown D1 5'000 >>> 4e
6-Varg D1 4'323 >>> 17e
7-Jaja14 D1 4'199 >>> 15e
8-lenissart D1 4'170 >>> 13e
9-Lorimier D1 4'034 >>> 3e
10-Milanello D1 3'667 >>> 12e
11- olaf D1 3'247 >>> 6e
12-Verbrugghe D1 3'082 >>> 14e
13-Simoni08 D1 3'040 >>> 16e
14-Babel D1 2'955 >>> 9e
15-fish0092 D1 2'870 >>> 11e
16-Oktos D1 2'669 >>> 8e
17-bogos D1 1'842 >>> 18e
18-Moncoutié49 D1 1'776 >>> 10e

+ + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + + +

Rang Manager Division Points 2007 - D2

1-SuisseTeam D2 3'535 >>> 1er
2-baroudeurdanslevent D2 3'203 >>> 7e
3-Milamber D2 3'076 >>> 16e
4-Shoupak D2 3'042 >>> 6e
5- Pika_72 D2 2'775 >>> 13e
6-Kruck D2 2'668 >>> 11e
7-Magic fx14 D2 2'631 >>> 5e
8-Mancebo82 D2 2'571 >>> 9e
9-leptibelge D2 2'418 >>> 3e
10-Thomas D2 2'397 >>> 18e
11-Blaireau59 D2 2'314 >>> 15e
12-cocochti D2 2'219 >>> 8e
13-Fx14 D2 2'049 >>> 4e
14-Noodles D2 1'997 >>> 14e
15-Pithivier D2 1'903 >>> 17e
16-pauleta D2 1'797 >>> 10e
17-Deluxe D2 1'554 >>> 12e
18-PinkFloyd D2 1'506 >>> 2e
19-Tsirtsi D2 0 >>> 19e

Pour une bonne vingtaine de managers, la prévision s'est avérée exacte à quelques places près.
En D1, les premiers rangs supposés étaient bien ceux à l'arrivée. Seul Lorimier a surpris vraiment.
En D2, le vainqueur était annoncé, mais pas son Dauphin. Pink-Floyd était aux fraises en début de saison.

Et dire que j'était annoncé 2e dans ce classment...

j'espere encore creer la surprise cette année

Ce serait pas mal du tout si je pouvais encore monter de 4 places au classement general par rapport au classement virtuel cette année

- Gagner le Tour
- Terminer dans le top 5 final
- Gagner le Tour du Pays Basque
- Une belle victoire d'Andy, genre LBL

Chez LMT, l'objectif c'est aussi que nos coureurs nous fasse vibrer, dans les grandes épreuves.
On espère :
-un Moncoutié au sommet de son art, avec une victoire d'étape sur le Tour et un top 5 sur la Vuelta.
-un Gerdemann qui explose vraiment cette année avec des places dans le top 10 sur les ardennaises
-un Vogondy qui remporte son 3ème titre de Champion de France
-un DeWaele qui participe enfin au Championnat du monde après une grande saison marquée par une régularité impressionnante
Et plein de bonnes surprises avec nos coureurs qu'on attend moins

Objectif final de l'équipe : un top 8

Nous n'avons pas 2 grands leaders pouvant ramener des "gros" points (vu que Vino ne sera pas de suite disponible) ou des écuries telles que celles de Jaja-14, Olaf, Christicyc ou d'autres, mais une multitude de jeunes qui ne demandent qu'à se montrer (entourés de quelques italiens "confirmés" ou revanchards)
D'ailleurs ce n'est pas por rien si Christicyc a listé pas mal de mes coureurs sur Rivals.
Donc sur le papier je suis loin d'avoir la meilleure formation, mais il pourrait y avoir des surprises...

Objectif: révélations & confirmations de talents

Ce n'est pas vraiment parce que tu les as listé en tout cas que j'ai mis Goss, Kangert, Klemme et Scarponi.

A part ça, ça m'a étonné que tu n'aies pas listé Vona lors de la vague 1 même s'il n'est plus tout jeune...

milanello a écrit:

Nous n'avons pas 2 grands leaders pouvant ramener des "gros" points (vu que Vino ne sera pas de suite disponible) ou des écuries telles que celles de Jaja-14, Olaf, Christicyc ou d'autres, mais une multitude de jeunes qui ne demandent qu'à se montrer (entourés de quelques italiens "confirmés" ou revanchards)
D'ailleurs ce n'est pas por rien si Christicyc a listé pas mal de mes coureurs sur Rivals.
Donc sur le papier je suis loin d'avoir la meilleure formation, mais il pourrait y avoir des surprises...

Objectif: révélations & confirmations de talents

Ségolène : "J'ai inspiré Obama et ses équipes nous ont copiés"

olaf a écrit:

D'abord le maintien et que mes coureurs me fassent vibrer

Gagner une belle classique nous ferait plaisir
On a déjà gangné Paris-Roubaix avec O'Gradyen 2007, Het Volk et Paris-Tours avec Gilbert en 2008

Voilà pour le moment

Je n'ai pas dit qu'il s'en était insipiré, mais disons que je n'ai pas dû faire de si mauvais choix puisqu'il a listé ces coureurs-ci (si finalement?), d'ailleurs d'autres habitués aussi se retrouvent avec plusieurs types de chez Barilla. Après on verra (ou non) s'ils en valaient la peine.

Tu peux aussi répondre à la 2ème partie de mon post si tu veux...

Notre objectif en 2009 ? Le Tour de France. Voici d'ailleurs comment nous le voyons :




Etape 1 : profitant d’une météo aléatoire, Florent Brard remporte à la surprise générale le court chrono ; malgré la pluie, Vincenzo Nibali fait 6 et Vandevelde 8. Brard en jaune, les leaders placés, le Tour commence de la meilleure des manières qui soient.

Etape 2 : arrivée au sprint, pagaille générale, Hutarovich s’extirpe du cahos ambiant et règle les favoris. Vigilant, Brard conserve son précieux paletot.

Etape 3 : étape marquée par une longue échappée de Stéphane Augé, qui ramènera de sa fugue solitaire le maillot à pois. Hutarovich, en pleine confiance, termine 3ème de l’étape et endosse le maillot vert, tandis que Brard reste en jaune, et Nibali s’habitue à son tout nouveau et tout beau maillot blanc. Les éressaziens projettent l’arrivée d’un grand couturier et une pub Benetton. Etape marquée par la chute de Tom Boonen en plein sprint qui abandonne le Tour. Patrick Lefévère : « Désormais, nous confions notre train à Wouter Weylandt »

Etape 4 : démonstration de force des Garmin-Chipotle, Christian Vandevelde nouveau maillot jaune. Huta vert, Augé à pois, rien de neuf sous le soleil …

Etape 5 : Weylandt n’est pas du genre à passer à côté de sa chance : il règle l’étape très facilement devant un Huta euphorique. Les trois maillots sont toujours chez nous, Augé ayant eu la bonne idée de se glisser dans la longue échappée.

Etape 6 : Weylandt 2, Huta 4 ; Hushovd, à son tour, se prend une gamelle et retourne à sa chère Norvège. Le plus sérieux concurrent d’Hutarovich pour le maillot vert vient de mettre pied à terre, tandis qu’Augé glousse devant les questions de Gérard Holtz sur sa supposée varicelle et que Vandi doit mettre les choses au point : non, il ne s’agit pas du nouveau rôle de composition de Thierry Frémont.

Etape 7 : Arcalis, banale course de côte : 7ème de l’étape, Vandi limite la casse et sauve sa tunique jaune pour quelques secondes. Huta en vert, tandis qu’Augé pleure ses pois perdus.

Etape 8 : A St-Girons, Christophe Moreau régale la foule : échappé de la première heure, il passe tous les cols en tête et remporte l’étape avec trente secondes d’avance sur les favoris, après un final homérique. Il endosse le maillot à pois et régale France Télévision de son panache télévisuel. Nibali fait 3, Vandi 6 et reste en jaune, tandis qu’Armstrong et Contador, étrangement défaillants, perdent toute chance de remporter le Tour. Selon des sources fiables, les deux compères se seraient livrés à du sabotage parallèle de poches de sang. Le Tour est plus que jamais ouvert !

Etape 9 : Situé trop loin de l’arrivée, le Tourmalet ne provoque aucune sélection parmi les favoris, bien que les CSC s’y soient montrés assez à leur aise. Carlos Barredo, parti de bonne heure, remporte l’étape. Ludovic Turpin, dans le bon coup, est 4ème tandis que Nibali règle le sprint du petit peloton, et fait 7. Vandi, Huta, Moreau ( à l’aise dans le Tourmalet ) prennent leurs aises sur le podium protocolaire.

Jour de repos : Sensation avec la mise hors-course des CSC après interception d’un colis médical !

Etape 10 : Etape de transition, marquée par la victoire de Sergio Paulinho, débarrassé de la figure encombrante de ses hôtes tutélaires. Florent Brard est 6ème de l’étape. RAS.

Etape 11 : Nouvelle étape de transition, et Matteo Tosatto dépose un nouveau présent dans la corbeille déjà bien remplie des Quickstep. Olivier Bonnaire, sélectionné contre toute-attente après un bon Dauphiné, sort enfin de l’anonymat et finit 3ème de l’étape.

Etape 12 : Vittel met l’eau à la bouche des sprinteurs, et cette fois c’est Oscar Freire qui s’encastre dans les barrières. Après l’abandon de Cavendish dès les premières cîmes, on voit mal désormais qui pourrait reprendre son bien à l’Hutarovich, surtout que ce dernier est 5ème de l’étape, Weylandt ayant échoué d’un rien sur la ligne, 2ème. Pendant ce temps, Vandi n’en finit plus de répondre à des questions idiotes ( « Christian, peut-on désormais vous appeler le poussin de l’Illinois, ah ah ah ! » ) et rêve de refiler son paletot au premier viendu.

Etape 13 : Et ce nouveau viendu s’appelle Olivier Bonnaire ! Héroïque toute la journée, il échoue d’un rien dans la quête d’une étape assez compliquée mais sans réel intérêt pour les favoris, réglé seulement par Egoi Martinez au sprint. Mais au bénéfice de ses deux échappées en trois jours, il prend le maillot jaune contre toute attente ! Le soir-même, dans toute la France, se manifestent les premiers effets de la Bonnairemania, jusque dans les banlieues les plus illuminées de voitures incendiées, en Seine-St-Denis profonde. Le Monde titrera dès le lendemain : la France a trouvé son Obama ! Lequel dépêchera jusqu’à ses conseillers les plus privés dans le bus de la BBox-Bouygues Télécom ( oui mon cher Laurent, je sais que les directeurs sportifs sont très sensibles à l’idée que nous citions le nom entier de l’équipe à l’antenne, alors j’insiste pour faire cet effort, d’ailleurs, le petit coureur que je vois là-bas au loin, avec son maillot de la Lampre, ne serait-ce point notre cher Jimmy Engoulvent ? ) afin de recueillir l’avis d’Olivier ( euh … s’agit de pas prendre le vent trop tôt, j’ai déjà fait le Tour du Qatar, avec le désert çà fouette ! ) sur la crise au Moyen-Orient.

Etape 14 : A Besançon, Olivier Bonnaire parade fièrement toute la journée avec son maillot jaune. Et c’est dans cette apathie générale qu’Hutarovich remporte sa seconde étape, Weylandt est 5ème.

Etape 15 : Retour à la montagne. A Verbier, Olivier Bonnaire s’accroche tant et si bien que tous les observateurs, relayés par Jokari, se posent désormais la question : peut-il remporter le Tour ? Pendant ce temps, Nibali remporte l’étape en achevant au sprint ses compagnons grimpeurs. Encore présent dans l’échappée au long cours, Christophe Moreau amarre définitivement à ses épaules le maillot à pois. Et tente une nouvelle coupe de cheveux pour détourner un chouïa l’attention des médias focalisés sur le jeune natif de Maroilles. « On va pas en faire un fromage hein ! » ( Thierry A. )

Etape 16 : Olivier Bonnaire n'en finit plus d'impressionner ! Il termine 8ème de l'étape et consolide largement son maillot de leader !

Jour de repos : marqué par l’exclusion des Caisse d’Epargne au complet et de leurs collègues de la Silence-Lotto. Le crime ? Avoir fait acte de médecine sanguine sans être passé par le médecin traitant. Valverde, Evans out, après les Scheck, Contador et Armstrong, Menchov et Sastre down ( terme barbare anglo-saxon désignant un individu tout juste bon à attraper les roues de Mark Renshaw ) l’horizon se dégage nettement pour les outsiders.

Etape 17 : Ce soir, c’est toute la France qui pleure avec son enfant chéri. Oui, Olivier Bonnaire, terrassé en pleine gloire dans la descente sinueuse du Cormet de Roselend, fracassé face contre terre, et échappant de lui de longues minutes une quantité lacrymale infinie. Une chute douloureuse, relevé difficilement il est alors fauché par Joop Zoetemelk qui passait par là en voiture, dans un choc d’une violence inouïe. Le lendemain, dans les colonnes de l’Equipe, Philippe Brunel parviendra difficilement à réunir tous les champs lexicaux de la complainte pour une chronique désabusée sur un héros si fragile et si immense à la fois, au stacato langoureux et au regard de braise. Interrogé par le journal de 20h, Dany Boon exprimera au nom du peuple ch’ti sa profonde tristesse. Plus grand-chose n’a d’importance désormais, et le peloton laissera filer une échappée jusqu’à la gagne. 8ème de l’étape, Vincenzo Nibali enfile le jaune. Et annonce qu’il ne saurait être question d’un complot italien organisé en étroite collaboration avec la Cosa Nostra dans le regrettable incident bonnairien ( l’adjectif a désormais sa place dans le Petit Robert ).

Etape 18 : CLM individuel à Annecy, et Christian Vandevelde se rappelle au bon souvenir de tous en enlevant et l’étape et le jaune, bien que Nibali ait terminé 6ème du chrono. Olivier Bonnaire annonce qu’il se retire de la vie cyclistique et qu’il entamera, à la sortie de sa convalescence, une marche symbolique à travers le monde pour la paix, la solidarité entre les peuples et les êtres, contre le réchauffement climatique et les nouvelles options de la Fiat SEAT.

Etape 19 : A Aubenas, une grande échappée prend le large sans aucune incidence sur le général. Stéphane Augé termine 4ème.

Etape 20 : Le Ventoux comme juge de paix du Tour de France 2009 ! Et c’est à l’issue d’un terrible mano-à-mano entre les deux premiers du général, Christian Vandevelde et Vincenzo Nibali que le premier prend définitivement le large, étape, maillot jaune et victoire finale garantis. Nibali 2, Moreau est 7ème et confirme son Tour héroïque. « J’ai enfin pu communier avec le peuple français dans cette édition, j’ai donné tout ce que j’avais et ils m’ont donné tout leur amour, leur passion. J’avais tellement envie d’un Tour comme ça, alors je profite de chaque instant vous savez. Alors oui, je vis en Suisse, mais ce soir je me sens l’incarnation de la France dans ce qu’elle a de plus grand. Et puis moi au moins, j’veux rien dire hein, mais je tiens debout dans les descentes »
De sa clinique, Olivier Bonnaire doit démentir les rumeurs malveillantes : non, il n’est pas le père de l’enfant de Rachida Dati.

Etape 21 : Oh Champs-Elysées, palapalapa … Sprint, banal, Weylandt 3, Huta 5, Vandi passe la ligne sans encombres. Huta, paré de vert, s’apprête à débarquer en héros en Biélorussie, et Cyrille Guimard harcèle les rédactions afin de rappeler que c’est lui qui l’a découvert, ce fichu bougre d’âne qu’avançait pas droit avant que je lui enseigne l’art du pédalage. Christophe Moreau prend le maillot à pois sous les sifflets du public, qui n’ont pas apprécié du tout les perfidies de la veille sur Olivier Bonnaire. En pleurs, Christophe annonce la fin de sa carrière. Quant à Christian Vandevelde, il s’applique à énoncer distinctement les lettres de son nom au journaliste de Gala présent sur les lieux. A une énième question de Gérard Holtz ( Vous venez de l’Illinois, comme Obama, vous rendez-vous compte que si vous aviez été noir vous seriez devenu le premier cycliste de couleur à remporter le Tour de France ? ), il high-kick le Gégé, le balance à travers le décor, le reprend par les cheveux et le jette frontalement sur Jean-René Godart qui, perdu dans sa fiche ( avec son nouveau trait d’esprit : Yes we can, yes you can Vandevelde ! ), n’a pas vu venir le tête-à-tête avec un type en chemisette.
Quelques jours plus tôt, à la question : Mais pourquoi avoir sacrifié votre talent tant d’années au service de leaders dont vous n’étiez pas franchement inférieurs ?, Christian avait répondu, avec une pointe de mélancolie et en désignant le camion de France Télévisions : Pour pas me farcir des guignols pareils mon pote.
Vandi gagne donc le Tour de France, Nibali est son dauphin et Moreau est 9ème.


Du côté des éressaziens, victoire triomphante et montée assurée en D1. Toutefois on dénombre quatre coureurs réduits à l’inactivité : deux en retraite, un en dépression, et un charismatique menacé de mort et contraint de se cacher ( t’façons, ces Italiens, c’est tous des tricheurs !, Raymond D. ). Rentré au pays, Yaheni Hutarovich ne donne plus de ses nouvelles et l’on apprendra quelques semaines plus tard qu’il avait pris le pouvoir suite à des élections anticipées. Mais que sont toutes ces tracasseries, au regard de la révélation mystique dont nous avons été témoin, dites-le moi ?

Cocochti t es un grand malade

EXCEPTIONNEl l'étape 17 est la plus formidable dans les récits lol

Un Tour de France palpitant et un Cocochti olympique

Arf Philippe Brunel qui parle d'un coureur français... dommage car tout était crédible à part ça.