CAJA EVRONA (CAJ) - Orbea

"Pas alarmant" pour Jérôme Coppel

Premier grand rendez-vous de ce Tour hier, au sommet de la Planche des Belles Filles, et une petite déception pour Saur-Sojasun. Son leader Jérôme Coppel, annoncé par Laurent Jalabert en début de Tour, comme l’un des deux meilleurs espoirs Français avec Pierre Rolland a perdu du temps. Son directeur sportif Lylian Lebreton revient sur cette journée avec Cyclism’Actu.

« Comme la plupart des équipes nous n’avons pas été épargnés par la grosse chute de l’étape de Vendredi. Cinq de nos coureurs ont été pris dans cette chute. Tout le monde est reparti mais Anthony Delaplace n’a pas tenu le coup aujourd’hui (Samedi). Il était bien touché mais voulait quand même prendre le départ. Au bout de quelques kilomètres il a été distancé. Il a pu revenir quand le peloton s’est relevé pour « la pause pipi » mais très vite il a été de nouveau lâché. Il ne pouvait pas continuer comme ça… Lemoine et Levarlet sont retombés aujourd’hui (Samedi). Visiblement rien de grave.

Quant à notre leader Jérôme Coppel, il a perdu du temps. Trois minutes dans l’ascension de la Planche des Belles Filles. C’est beaucoup mais ce n’est pas non plus alarmant. Il ne faut pas céder au pessimisme. Une montée sèche, raide et avec de forts pourcentages, on sait que ce n’est pas l’exercice préféré de Jérôme qui a toujours besoin d’un peu de temps pour se mettre en route.

Demain (aujourd’hui) sera une journée plus favorable pour les échappées et Lundi, ce sera le contre-la-montre. Ce sera un contre-la-montre plat et assez rectiligne, un pur exercice pour spécialiste et le CLM est la spécialité de Jérôme. On espère donc qu’il pourra récupérer le temps perdu. »

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-pas-alarmant-pour-jerome-coppel-25913.html


Puisqu'il ne faut pas s'alarmer, nous voila rassuré... Jérôme sera au top pour la quatrième semaine du Tour.

Oscar Freire: "C'est fichu pour les JO"

José Luis de Santos, le sélectionneur espagnol pour les Jeux Olympiques, a confirmé le forfait d'Oscar Freire. Après une chute lors de la 7ème étape du Tour de France, Freire s'est retrouvé avec une fracture de 3 côtes ainsi que la perforation d'un poumon. En raison de ces blessures, le coureur de Katusha ne pourra pas participer aux JO. De Santos affirme en effet à Marca : "J'ai parlé avec lui ce matin. Il doit être hospitalisé 4 jours puis observer un repos absolu d'un mois. C'est fichu pour les JO".

Qui remplacera donc l'espagnol ? De Santos ne se prononce pas encore, même s'il avoue que "Ventoso pourrait être un bon remplaçant. L'important c'est qu'il récupère correctement et qu'il soit prêt pour les Mondiaux. C'est une grande perte, c'était un pilier au sein de l'équipe".

http://www.cyclismactu.fr/news-jo-2012-oscar-freire-c-est-fichu-pour-les-jo-25927.html

Coppel : "On m'a dit de ne pas insister"

Jérôme Coppel fut hier l'un des audacieux du jour hier, lors de la 8ème étape du Tour de France. Mais encore considéré comme une des meilleures chances françaises, malgré une 23ème place au général, le coureur de la Saur-Sojasun est semble-t-il surveillé par les équipes de favoris. En effet, comme il le raconte à L'Equipe une fois la ligne d'arrivée franchie, le français, qui pensait tout d'abord qu'après être "sorti en costaud dans un groupe avec Mollema, Velits, Riblon, Casar et Albasini", l'échappée "serait la bonne", a vite déchanté. "Richie Porte est venu me voir et il m'a dit de ne pas insister. "Nous ne te laisserons pas partir", m'a-t-il dit. "Je ne pense pas leur faire peur mais les Sky voulaient juste trier ceux qui allaient devant", confie-t-il.

Les espoirs de Coppel ont donc fondu, tout comme l'avance des échappés, comme neige au soleil. Mais il ne se démotive pas et pense avoir sa carte à jouer lors du contre-la-montre d'aujourd'hui, à une condition : "L'étape va laisser des traces. Je peux faire un bon chrono mais tout dépend de façon dont je vais récupérer ce soir."

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-on-m-a-dit-de-ne-pas-insister-25948.html


Je ne sais pas ce qui est le plus risible... l'attitude des Sky, ou le discourt de Coppel.
Feraient mieux, les uns comme les autres, de faire profil bas.

Coppel : "Beaucoup de bagarre !"

C’est un début de Tour de France un peu difficile pour le leader de la formation Saur-Sojasun, Jérôme Coppel. Les deux premières étapes de moyenne montagne ne lui étaient pas favorables. Alors quand vint le premier contre-la-montre de ce Tour de France, hier entre Arc-et-Senans et Besançon, on s’est dit chez Saur, que Jérôme Coppel allait enfin pouvoir s’exprimer à sa juste valeur. Le contre-la-montre est effectivement l’exercice de prédilection du rouleur savoyard. A la veille des premiers massifs Alpestres, Cyclism'Actu a voulu en savoir plus sur l'état d'esprit du leader de l'équipe à Stéphane Heulot, qui est maintenant 18ème du classement général à 8’31’’ du maillot jaune.

Jérôme Coppel, vous vous classez vingtième du chrono’ d’hier, juste deux secondes après Jérémy Roy. Avec 2’54’’ de retard sur Wiggins, comment analysez-vous ce résultat ?
Je ne suis pas satisfait de ce chrono. Je n’avais pas vraiment de bonnes sensations. Mon bidon était bloqué donc je n’ai pas pu hydrater comme il fallait. Ce n’est pas ce qui me fait perdre du temps mais ça n’a pas aidé.
C’était un contre-la-montre que vous étiez venu repérer ?
Oui j’étais venu le repérer auparavant, je l’avais bien préparé. Mais les sensations n’étaient pas exceptionnelles. J’étais plutôt bien dans la première partie, avec quelques petites bosses. Mais la seconde moitié a été très dure. C’était très rectiligne, ça n’a pas été un moment agréable. Je ne sais pas si c’est du à la chaleur, mais je n’ai pas pris de plaisir sur ce contre-la-montre alors que c’est un exercice que j’aime beaucoup habituellement. C’est rare que je ne prenne pas de plaisir dans un chrono’.
Cette journée repos clôture une première semaine un peu compliquée pour vous ?
C’est vrai. Il y a huit jours dans la plaine. Ce n’est pas forcément ce qui me convient le mieux. Après, l’arrivée à La Planche des Belles Filles a vu la première explication entre ceux qui visent la victoire finale. Ce n’était pas une étape qui me convenait, avec un final en montée sèche comme ça. J’y ai perdu trois minutes. C’est beaucoup, je savais que ça ne me conviendrait pas, mais je ne m’attendais pas à perdre autant. Dans l’étape de Porrentruy, je me sentais mieux mais j’ai payé les efforts de la veille…
La motivation reste intacte ?
Oui bien sûr. Moi je fais ma course, je ne me compare pas aux résultats des autres, je reste concentré sur ma course. Sur le chrono il fallait reprendre du temps sur les grimpeurs, c’était l’objectif. J’ai tout fait pour. Mes temps étaient plutôt rassurants malgré des sensations pas terribles. Maintenant la journée de repos va faire du bien, elle va permettre de recharger les batteries et demain on attaque les Alpes.
Comment abordez-vous ces premiers rendez-vous Alpestres ?
Beaucoup de favoris ont perdu du temps sur Wiggins, ils vont donc devoir attaquer. Je m’attend à une course avec beaucoup de bagarre.

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-beaucoup-de-bagarre-25994.html


Ah, le coup du bidon. On l'avait pas encore faite celle-là...

Coppel : "À la limite des crampes"

Il n'a pas forcément été le Français le plus en vue jeudi, du fait des grosses performances de Pierre Rolland (Europcar) et Thibaut Pinot (FDJ-BigMat), mais Jérôme Coppel (Saur-Sojasun) a tout de même fait une belle remontée au classement général du Tour de France. Grâce à une solide montée (15e) de la Toussuire, le Haut-Savoyard est remonté à la quatorzième place du général, une journée assez satisfaisante donc pour le poulain de Stéphane Heulot. Pour autant, ce ne fut pas simple, loin de là :

"Je suis mort ! Aujourd’hui (hier), c’était vraiment dur" a-t-il commenté. "On s’y attendait mais une fois la course lancée, ça ne s’est jamais relevé ! Les 150 kilomètres de l’étape, j’ai cru qu’ils en faisaient 200 ! J’ai limité comme j’ai pu et je n’étais pas capable de faire autrement. Dans la Madeleine, je ne me sentais pas bien. Dans le Glandon, j’étais mieux. Quand des coureurs ont attaqué, j’ai préféré gérer. Je ne suis pas capable de répondre aux accélérations. J’étais même parfois à la limite des crampes. Mais finalement, j’ai bien fini l’étape."

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-a-la-limite-des-crampes-26075.html

Jérôme Coppel : "Il fallait tenter"

Plusieurs coureurs ont voulu tenter de se montrer lors de la 12ème étape du Tour de France dont de nombreux français comme Jérôme Coppel. Le leader de la formation Saur Sojasun aurait voulu prendre l'échappée du jour, assuré que c'était la bonne :

"J'aurais bien aimé prendre l'échappée du jour mais je ne suis pas parvenu à être immédiatement dans la bonne", explique le protégé de Stéphane Heulot. "J'ai essayé de rentrer ensuite. J'ai attaqué dans le Granier. Quand je me suis retourné en haut et que j'ai vu le maillot jaune de Brad (Wiggins), j'ai compris que cela ne servait à rien d'insister. Aujourd'hui, les jambes tournaient bien. Il fallait tenter..."

Actuellement, Coppel occupe la 14ème place au général. Il pointe à 11 minutes et 27 secondes de l'actuel leader de ce 99ème Tour de France, Bradley Wiggins.

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-jerome-coppel-il-fallait-tenter-26110.html

Coppel : "J'ai pété avant Cavendish !"

Ces derniers temps, les jours se suivent et se ressemblent pour Jérôme Coppel, malheureusement. Le Haut-Savoyard, malade depuis quelques jours, a encore passé une journée difficile dimanche lors de la 14e étape du Tour menant les coureurs à Foix. Bien que ralliant l'arrivée avec le peloton maillot jaune, le leader de la Saur-Sojasun a vraiment souffert, et a profité de l'attente des Sky pour revenir sur le pack. Toujours 14e au général, le poulain de Stéphane Heulot espère aller mieux lors des prochaines étapes :

"Journée galère de chez galère !" s'est-il exclamé à l'arrivée. "Pour vous dire, dès la première bosse, j'ai pété avant Marc Cavendish… ! Heureusement, toute l'équipe s'est bien organisée autour de moi et les gars ont bien mis en route. Tant que l'échappée n'avait pas pris du champ, il était difficile de revenir sur le peloton maillot jaune. Mais nous n'avons pas paniqué. Ensuite, j'ai essayé de récupérer."

Puis, comme beaucoup d'autres, Coppel a percé ... "En haut de Péguère, j'ai crevé à l'avant et j'ai tenté de poursuivre à plat pendant un bon kilomètre. Le dépannage neutre était un peu débordé. Mais je suis rentré dans la descente. Sinon, au niveau de ma santé, ça ne va pas du tout : je tousse, je peine à respirer. J'espère que ça ira mieux demain, mais les départs rythmés m'inquiètent." Les deux journées qui se profilent pourraient permettre au vainqueur de l'Etoile de Bessèges de se refaire la cerise, avant le terrible passage dans les Pyrénées.

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-j-ai-pete-avant-cavendish-26160.html

Un peu de mouvement au sein de l’équipe.
Grzegorz STEPNIAK qui nous avait rejoint fin avril spécifiquement pour les courses de l’Est, est remplacé par Florian SENECHAL.
Le jeune Polonais n’aura jamais pu se mettre en évidence sur les quelques courses auxquelles il a prit part, et a pour ainsi dire, déjà terminé sa saison. C’est l’occasion donc, d’offrir la possibilité au jeune Français de vivre sa première expérience professionnelle, en espérant que celle-ci soit la plus positive possible...

Et pendant ce temps-là... Purito se prépare toujours avec Dani en vue de la Vuelta. En ce moment, ils sont du côté de l'Andorre...



C'est bien, ils profitent de leurs grandes vacances pour faire un peu de vélo...

Sympa la photo.
Purito est bien le seul à faire le métier dans l'équipe actuellement...

Jérôme Coppel : "Je suis vraiment mal"

Ouf. Le Tour est bientôt terminé, et certains coureurs ne cacheront pas, dimanche, leur soulagement. Nul doute que Jérôme Coppel sera de ceux-là. Malade depuis plusieurs jours, le leader de la formation Saur-Sojasun ne peut assurer ses ambitions. Soixante-et-onzième hier, il a reculé de la quinzième à la vingt-et-unième place au général. Le Haut-savoyard peut cependant se consoler d'avoir, autour de lui, une équipe soudée et dévouée, comme le raconte Brice Feillu:

«Jérôme était en difficulté, on s'est regroupé autour de lui. Quoi qu'il en soit je pense qu'aucun de nous était en état de batailler pour un résultat. On ne savait pas trop comment cette journée allait se passer pour nous et pour Jérôme, mais on a vite vu que ça ne débrancherait pas. »

Courir le Tour malade, Feillu connaît le sujet, lui qui a souffert de la maladie les premiers jours de cette Grande Boucle. Au tour de son leader. Coppel témoigne de son état de santé : « Ça n’allait vraiment pas. Je n’ai pas de jambes. J’ai essayé de prendre le gros coup dans la première bosse. Mais je suis sans force, je tousse, je suis vraiment mal. Le Tour c’est déjà très dur en temps normal, alors malade, ça enlève le peu de plaisir qui reste. »

Cependant, l'équipe Saur-Sojasun assure que son coureur n'abandonnera pas si proche du but, et que son équipe sera toujours là pour l'aider. Lylian Lebreton, directeur sportif, explique : « Avec Jérôme, on est parti sur un fil conducteur depuis le début du Tour, alors on a voulu qu'il ne se sente pas abandonné, même si c'était symbolique. On voulait qu'il se sente soutenu dans sa détresse. Mais ce sont des choses qui arrivent : il connaîtra sûrement de nombreux Tours de France plus fastes que celui-ci. »

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-jerome-coppel-je-suis-vraiment-mal-26282.html


Nous non plus nous ne l'abandonnerons pas, mais on souhaite qu'il revoit sa façon d'aborder la saison. Gagner un peu plus en dehors du Tour, et être un peu plus en retrait au mois de juillet, ça peut être pas mal parfois...

Coppel : "Si ça n'était pas le Tour..."

Le Tour de France avait plutôt bien commencé pour Jérôme Coppel. Contrairement à l'an passé, le coureur de la Saur-Sojasun n'avait été victime d'aucune chute ou d'aucune perte temps sur les premières étapes de plaine. C'est sur la fin que cela s'est gâté pour le Haut-Savoyard. Malade depuis quelques jours, le désormais 21e du classement général a vécu un passage très très compliqué des Pyrénées. Ce samedi, il prendra part au chrono avant de rallier les Champs-Elysées. Mais pour lui, c'est déjà un Tour à oublier :

"Je pense que cette étape entre sans problème dans le top 5 de mes pires journées sur un vélo" a-t-il dit vendredi. "Quand c’est long et que ça roule comme ça, il ne faut pas être malade. Si ça n’était pas le Tour, je ne serais plus là. Je serai très heureux d’être à Paris, mais en fait, je n’ai qu’une envie, c’est d’être chez moi et de laisser le vélo au garage ! J’espère que le plus dur est fait. Demain, pour le chrono, je vais faire de mon mieux, mais je ne me fais aucune illusion. Je ne vois pas comment je pourrais me retaper dans la nuit..."

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-si-ca-n-etait-pas-le-tour-26306.html


Ça sent la fin de saison dès demain soir cette histoire...

Coppel : "Une semaine que je galère"

Jérôme Coppel n'a pas été au top sur ce 99ème Tour de France. Malade depuis l'étape du Cap d'Agde, le leader de la formation Saur Sojasun n'a pas retrouvé le meilleur de sa forme, finissant même lors du chrono de Chartres, sa spécialité, à la 138ème place, à 9'32" de Bradley Wiggins (Sky Pro Cycling), le vainqueur du jour :

"Je suis content que ce soit terminé !", affirme le protégé de Stéphane Heulot. "Si ce n'était pas le Tour de France, je ne serais plus là depuis longtemps. Cela fait une semaine que je galère. Aujourd'hui, j'ai fait le chrono à fond et vous avez vu le temps que je mets ! Je tousse jour et nuit depuis le Cap d'Agde. Je n'arrive pas à dormir, j'ai du mal à m'alimenter et je n'ai plus aucune force. Physiquement, je pense que j'étais en mesure de faire au moins aussi bien au général que l'an passé. J'étais 14ème quand je suis tombé malade..."

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-une-semaine-que-je-galere-26323.html


Allez, la fin du calvaire est proche...

Coppel : "Je montais en puissance..."

Avant de tomber malade, Jérôme Coppel était dans les temps. Treizième du Tour de France en 2011, le coureur de Saur-Sojasun était quasiment à la même place avant de sombrer en fin d'épreuve, à tel point qu'il a été éjecté du top 20. Un coup dur pour le Haut-Savoyard qui attendait beaucoup de cette Grande Boucle, qui pouvait l'avantager avec l'important kilométrage de contre-la-montre. Lui qui souhaitait s'approcher du top 10, a donc vu ses espoirs s'envoler peu à peu lors de la dernière semaine du Tour :

"On sait que les années se suivent et ne se ressemblent pas" tente-t-il de relativiser auprès du Dauphiné Libéré. "Je pense que physiquement, j’aurais été capable de faire au moins aussi bien que l’année dernière (13 e) parce que je suis 14 equand je tombe malade. Ça fait partie du Tour, de la course, c’est arrivé à d’autres avant moi, ça arrivera à d’autres après. Je reviendrai plus fort. J’ai déjà abandonné le Tour sur maladie et mentalement, ça m’avait atteint. Voir Paris, c’est ce qui m’a tenu."

S'il n'espère évidemment pas revivre une experience comme celle-ci, Coppel veut tout mettre en perspective : "Ce que je retiens, c'est la capacité que j’ai eu à m’accrocher. L’année dernière, c’était la chute et les douleurs musculaires, cette fois, c’est la maladie et c’est encore pire. Mais dans chaque galère, il y a du bon à prendre, j’en retirerai le positif dans quelques semaines. Je sentais que je montais en puissance, dans l’étape d’Annonay, les sensations étaient très bonnes, je vais rester là-dessus." Désormais, le poulain de Stéphane Heulot va se soigner, se reposer quelque peu avant de probablement reprendre sur le Tour de l'Ain début Aout.

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-france-coppel-je-montais-en-puissance-26375.html


Allez, mieux vaut passer à autre chose et oublier cette course. Au pire s'il en tire un seul point positif, ça sera déjà mieux que rien...

J.Rodriguez de retour à la compétition

Joaquin Rodriguez n'a plus couru en compétition officielle depuis le 27 Mai dernier, date de la fin du Tour d'Italie. Deuxième du Giro, Purito a donc pris une bonne période de repos afin de recharger les batteries en vue de la deuxième partie de saison. Désormais, celui qui vise le Tour d'Espagne est en pleine préparation pour son deuxième Grand Tour de l'année. Cette préparation passe par sa reprise en compétition dès demain, sur le Tour de Burgos. Tenant du titre de l'épreuve ibérique, l'Espagnol de la Katusha sera accompagné de Dani Moreno, Xavier Florencio, Petr Ignatenko, Alexander Kolobnev, Alberto Losada, Alexey Tsatevich et Angel Vicioso pour tenter de défendre sa victoire acquise l'an passé. Puis, il sera alors temps pour lui de se projeter sur la Vuelta, particulièrement montagneuse cette année, où il aura l'occasion de conquérir quelques victoires d'étapes et pourquoi pas de jouer le général.

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-de-burgos-j-rodriguez-de-retour-a-la-competition-26507.html

Quelques mots pour signaler la victoire de Ian BIBBY sur la 2ème étape de la Mi-Août Bretonne.

Purito : "Je vais lutter pour gagner"

Incorrigible Purito ! En début d’année, il semblait s’être fixé des objectifs raisonnables, à 33 ans : gagner une classique, ce qu’il a réalisé à la Flèche Wallonne, disputer le classement général du Giro, dont il a pris la deuxième place derrière le Canadien Ryder Hesjedal, et ne viser à la Vuelta que des étapes tout en préparant le Mondial et le Tour de Lombardie. Mais alors que le départ du Tour d’Espagne, à Pampelune, approche à grands pas (samedi 18 août), le Catalan de l’équipe Katusha, annonce, en dépit de la division des responsabilités avec Denis Menchov, double vainqueur de l’épreuve, et de l’opposition fournie par Alberto Contador et Chris Froome : « Je vais lutter pour gagner le général. »

Manifestement, Rodriguez est resté sur sa faim en perdant le maillot rose du Giro pour seulement seize secondes, le dernier jour, contre la montre, l’exercice qui le handicape dans ses conquêtes. « J’étais sûr que, tôt ou tard, en travaillant dur et en étant épargné par la malchance, je finirais sur le podium d’un Grand Tour », dit-il.

Il retourne à la Vuelta – sa course par étapes préférée – d’où il conserve deux frustrations : être descendu de la première à la quatrième place en 2010 suite au contre-la-montre tout plat de Peñafiel (paradis viticole d’où s’élance la 19e étape cette année) et n’avoir pu disposer de toutes ses facultés l’an passé. Deux chutes l’avaient diminué alors qu’il était leader et double vainqueur d’étapes au bout d’une semaine. « Je préfère finir 8e en sachant que c’est ma place plutôt que d’arriver à Madrid sans avoir pu m’exprimer pleinement et avoir donné tout ce que j’avais dans les jambes », dit-il.



Il va être servi au cours des trois semaines à venir : lui qui adore les arrivées en côte, il en aura dix à sa disposition, dont son col favori à l’entraînement, la Gallina (il habite la principauté d’Andorre où arrivera la 8e étape), et les inédits Mirador de Ézaro (12e étape), court (2km) mais raide (jusqu’à 30% de pente), et Cuitu Negru (16e étape), dont les 470 derniers mètres sont annoncés à 13% de moyenne avec une pente maximale de 25%. « Cette Vuelta est très dure », signale Rodriguez, qui accueille avec enthousiasme le come-back de Contador.

« Je préfère qu’il soit là, comme ça, le peloton sera mieux contrôlé, dit-il. C’est clair qu’il est au-dessus de tous les autres coureurs, mais moi, en tant que sportif, j’aime que courent les meilleurs et que j’en fasse partie. La participation d’Alberto est importante pour nous tous. Je ne crois pas qu’il soit affecté par son arrêt de six mois. C’est comme les années où il gagnait le Tour et ne courait pas jusqu’au Tour d’Algarve, mais il revenait très compétitif car c’est quelqu’un qui sait bien travailler. »

Javier Guillén, le patron de la Vuelta, et ses directeurs techniques, Abraham Olano et Paco Giner, ont bâti la course pour le spectacle. Ça tombe bien : l’acteur le plus démonstratif est prêt à donner la réplique au grand favori !

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-d-espagne-purito-je-vais-lutter-pour-gagner-26868.html

Joaquin Rodriguez : « J'espère avoir fait les bons choix »

Derrière Alberto Contador et Chris Froome, c'est le coureur qui revient le plus lorsque l'on parle des favoris de ce Tour d'Espagne 2012, qui s'est élancé ce samedi, à Pampelune. Joaquin Rodriguez, second du dernier Tour d'Italie, après avoir passé le nombreux jours en rose, débarque sur son Tour national avec des rêves plein la tête. Une Vuelta 2012 taillé sur mesure pour les grimpeurs avec pas moins de 10 arrivées au sommet. Une aubaine pour Purito qui raffole de ses arrivées aux pourcentages à deux chiffres. Juste avant le départ, Joaquin Rodriguez s'est confié et parle avec passion de son Tour d'Espagne où il compte bien jouer les premiers rôles au général et pourquoi pas enlever son premier grand Tour après être passé si près en mai dernier, en Italie.

Une Vuelta avec dix arrivées au sommet, cela doit vous réjouir, non ?
C’est toujours un grand moment de prendre part à une course dans mon propre pays. Courir mon Tour national, c’est quelque chose de super ! Et, en plus cette année particulièrement, ce sera une course très difficile mais qui convient parfaitement à mes caractéristiques, c’est sûr que j’en suis heureux. Je vais donc tout faire pour me placer le plus haut possible au classement général. Ce sera pour sûr mon objectif principal. J’ai envie de dire que je ne pense qu’à ça en fait : me battre pour le classement général. Je sais qu’il y aura quelques étapes parfaites pour moi sur lesquelles j’aimerai m’imposer et jouer les premiers rôles du général.
En effet, cette Vuelta semble faite pour vous. C’est peut-être votre grande chance de remporter enfin un Grand Tour, non ?
Oui, c’est une grande chance pour moi ce parcours, mais il ne faut pas oublier que j’aurais quelques adversaires très forts. Je pense en particulier à Contador mais aussi à Froome, car il s’est montré vraiment invincible en montagne sur le Tour de France. Il était vraiment impressionnant, et Contador lui aussi m’a toujours fait une grande impression, c’est sûr qu’il sera au rendez-vous.
Pensez-vous que Contador puisse-être battu ? Par vous ou un autre coureur…
C’est sûr que c’est un grand champion. De plus, il aura une motivation et une fraicheur énorme après sa suspension. Et j’ai vu qu’il était dans une grande forme sur l’Eneco Tour, ça promet pour la Vuelta ! Mais je sais que tout peut arriver sur une si longue compétition.
Et quels seront les autres coureurs que vous surveillerez ?
Comme je l’ai déjà dit, sur le papier, ce sont Contador et Froome les deux plus forts de cette Vuelta. Mais il ne faut pas oublier Cobo, il a gagné l’an passé, et il sera là de nouveau cette année. Cependant, je suis assez confiant, je me sens vraiment bien.
Et vous avez en plus une très belle équipe cette année, mais en serez-vous le leader incontesté ?
Oui, ce sera moi le leader, il n’y a pas de problèmes de ce côté-là. Mais c’est vrai que j’ai de si bons équipiers qu’ils pourraient bien, pour plusieurs d’entre eux, devenir les leaders de l’équipe si jamais il m’arrivait quelque chose. Mais, pour l’instant, nous n’en sommes pas là.
On sait que vous avez souvent plus de mal dans la fin des grands tours en très haute montagne, comment avez-vous travaillé cela ?
Nous avons fait un bon stage en montagne il y a quelques semaines, cela m’a permis de me préparer et d’arriver bien en forme. Ensuite, j’ai couru la Vuelta a Burgos où j’ai retrouvé le rythme de la course. Cette course sera très dure et très longue, j’ai donc essayé de ne pas arriver au maximum de ma forme pour pouvoir encore hausser mon niveau au fur et à mesure que la course avance. Il ne sert à rien de se sentir trop bien en première semaine si c’est pour être vidé avant de voir Madrid. C’est très compliqué à gérer, un Grand Tour, mais j’espère avoir fait les bons choix.

http://www.cyclismactu.fr/news-interview-joaquin-rodriguez-laquo-j-espere-avoir-fait-les-bons-choix-raquo-26943.html

Purito : "J’enrage contre moi-même"

Une erreur de débutant, peut-être pire encore. Joaquin Rodriguez l'admet lui-même, il a été "stupide". Pourtant, Purito avait fait le plus dur en suivant Contador & co, et en abordant les derniers mètres en tête. Seulement, le coureur de la Katusha s'est relevé un peu tôt, ce qui a permis à Alejandro Valverde de le passer sur la ligne. Tout juste. Dégouté, énervé, Joaquin Rodriguez l'avait mauvaise à l'arrivée de la troisième étape du Tour d'Espagne :

"Je suis vraiment en colère" a-t-il dit. "J’ai perdu une étape qui me tendait les bras. Je connaissais le parcours de cette étape, spécialement la montée finale. J’aurais dû rester devant avant les deux derniers virages. En fait, j’étais idéalement placé mais dans les cinq derniers mètres, j’ai arrêté de pédaler et Valverde m’a battu de quelques millimètres. Je pensais que dans cette étape, les favoris seraient d’un niveau égal et pour ma part je suis très content de ma condition physique. Mais j’enrage contre moi-même. Je peux seulement dire que j’ai perdu non pas parce que je suis moins fort, seulement parce que j’ai été stupide !"

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-d-espagne-purito-jet-8217-enrage-contre-moi-meme-26975.html

Purito : "Je suis monté à mon rythme"

Malgré être passé très proche de la victoire lors de l'étape d'Arrate, Joaquin Rodriguez a de nouveau répondu présent lors de la 4ème étape du Tour d'Espagne et a pris le maillot rouge de leader des épaules d'Alejandro Valverde (Movistar Team), malchanceux lors de cette journée.

"Ce qui s'est passé hier (déclaré 2ème de l'étape après la photo-finish, battu par Valverde) est une chose qui va me rester, non pas par rapport à ce que les gens disent ou peuvent entendre, mais parce que sincèrement je me suis retrouvé comme un idiot", affirme Purito selon l'Agence France Presse. "Honnêtement, je n'ai pas regardé la ligne (...), j'ai vu la photo-finish et j'étais en train de freiner (...) pensant que j'avais déjà la victoire."

Après quatre étapes, il a déjà pu estimer le niveau de forme de tous ses rivaux dont un, El Pistolero : "Alberto (Contador) a un coup de pédale énorme, mais j'ai assez de flexibilité. (Mardi) il y a eu un moment où j'ai senti que je n'allais plus pouvoir suivre et je me suis dit qu'il valait mieux monter à mon rythme. Je savais que le col était long et que je pourrais recoller."



Il s'élancera lors de la 5ème étape, tracée autour de la cité de Logrogne, avec sur le dos le maillot rouge : "Je ne m'attendais pas à prendre le maillot aujourd'hui" a-t-il dit. "Evidemment, je suis heureux, mais j'aurais préfèré gagner l'étape de lundi. Bien sûr, ça ne change rien : cette première place me donne de grosses motivations pour atteindre mon objectif, qui est de faire une belle place au classement final, mais les écarts sont encore très resserés et tout peut arriver. Je pensais que ce serait étape calme ce mardi, mais dès qu'il y a eu la chute, le peloton a maintenu une vitesse très élevée [...] Au début, nous n'avions pas réalisé que Valverde avait été impliqué dans la chute, mais quand Intxausti est venu me le dire, j'ai préféré dire à mes coéquipiers d'arrêter de rouler. Je ne critique pas le choix des autres équipes, mais j'ai pensé c'était la bonne chose à faire."

http://www.cyclismactu.fr/news-tour-d-espagne-purito-je-suis-monte-a-mon-rythme-27009.html

J. Rodriguez vise la victoire ce jeudi

Pour sa première journée en rouge sur cette Vuelta, Joaquin Rodriguez n'a pas vraiment eu à s'employer. Sur une étape plate, et avec un seul homme à l'avant, l'Espagnol n'a d'ailleurs quasiment pas mis à contribution ses coéquipiers de la Katusha : "C’était une étape vraiment tranquille. Il y a eu un coureur d’Andalucia échappé jusqu’au dernier tour et c’était parfait pour nous."



Ce jeudi, cela risque d'être moins tranquille, et en particulier car lui-même sera l'un des protagonistes, à coup sûr : "Je vais me battre pour gagner à Jaca. Mon équipier Angel Vicioso a reconnu son final et il m’assure que cette arrivée me convient. Je me sens bien et mon équipe est forte et ce sera un final pour faire des écarts. C’est une montée dure et en ligne droite, faite pour des puncheurs."

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Rodriguez: “Je dois être malin !”

Il a joué malin à l'arrivée de cette 6e étape du Tour d'Espagne, et déjà troisième arrivée au sommet. Joaquin Rodriguez, le grimpeur de poche espagnol, a réussi en grâce à ses qualités de puncheur, sur les pourcentages à deux chiffres, à remporter une fois de plus une victoire de prestige et ainsi consoider sa position de leader au général...

...mais alors « Purito » comment s’est déroulée cette étape ?
C’était une étape très difficile. Avec toutes les équipes bien organisées, c’était un combat permanent avant l’ascension finale. Et cette montée était vraiment raide. C’était plus une côte pour puncheur qu’une ascension longue de montagne. Je ne sais pas ce qui est arrivé à Contador. J’étais dans le sillage de Chris Froome, et je ne sais pas ce qu’il s’est passé derrière moi. Et je n’ai pas été surpris de voir Froome à ce niveau. Il semble aussi fort que dans le Tour deFrance. Il est clairement venu dans la Vuelta avec l’ambition de la gagner.
Froome prétend que vous avez été malin pour gagner cette étape. Aviez vous programmé de fournir votre effort à la fin ?
Quand vous n’êtes pas aussi forts que les autres, vous devez faire travailler votre cerveau. Team Sky et Saxo Bank ont fait un sacré travail et je n’avais pas d’autre choix que de courir comme je l’ai fait et d’attendre le bon moment pour passer Froome.



A ce stade de la Vuelta, comment évaluez-vous vos sensations ?
Je me sens vraiment bien, aussi bien que je l’étais dans le dernier Giro et c’est très important pour moi d’avoir la même équipe que dans le Giro, avec Denis Menchov en plus. Je suis bien mais mes rivaux sont très forts, comme Chris Froome, Alejandro Valverde et Alberto Contador. La Vuelta est encore longue mais je ne pourrais être dans une meilleure position que celle que j’occupe ce soir…

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Rodriguez : "Je connais la Gallina"

Après une semaine de course, Joaquin Rodriguez est maillot rouge sur le Tour d'Espagne. Il entame donc la deuxième semaine de la Vuelta dans la position de leader. Position qu'il remet en jeu dès ce samedi sur les pentes de la Collada de la Gallina du côté d'Andorre. A l'arrivée hier, Purito se projetait déjà sur l'étape du jour : "Ce soir, je me focalise sur la huitième étape demain (aujourd'hui)" disait-il. "Je connais La Gallina parce que je vis en Andorre. Ce n’est pas très important de débuter cette ascension en première position ou un peu derrière parce que ce n’est pas très dur. En revanche, les quatre derniers kilomètres sont très raides avec des pentes de 15 à 20% Ce sera beau à voir !"

Pour autant, le leader de la Katusha a bien conscience qu'il va devoir batailler dur pour conserver sa tunique de leader : "J’aimerais conserver le maillot rouge de leader mais je ne suis pas dans le même état d’esprit qu’il y a deux ans quand je voulais gagner les étapes et porter ce maillot chez moi en Catalogne. Cette année, je compte beaucoup de jours de course, c’est différent. Maintenant, je veux le maillot rouge le dernier jour à Madrid."



Selon Purito, la liste des vainqueurs potentiels de cette Vuelta est désormais réduite à quatre coureurs : "Mes trois rivaux sont différents les uns des autres. Contador est un spécialiste des changements de rythme, Valverde me ressemble et est capable d’être explosif dans le dernier kilomètre des ascensions. Froome est le plus difficile à combattre parce qu’il tente de nous distancer dès que possible. Je sais que ces trois là vont me rendre la vie difficile dans les ascensions difficiles et notamment dans La Gallina."

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Rodriguez : "Un moment très spécial"

Joaquin Rodriguez, très à l'aise dans la dernière ascesion qu'il disait connaître par coeur, a pris la deuxième place de la 8ème étape du 67ème Tour d'Espagne. Avec cette place, il emmagasine quelques secondes de bonifications qui pourrait être importantes en fin de Tour :

"Ce fut pour moi un moment très spécial de grimper ce col avec le maillot rouge sur le dos devant une foule aussi enthousiaste qu’au pays-Basque", indique le leader de la formation Katusha Team. "J’ai vraiment apprécié l’une des plus belles journées de ma carrière. J’ai roulé et fort et combattu quelques-uns des meilleurs coureurs du monde."



Avec Valverde, il est revenu dans les derniers mettre dans le sillage de Contador avant de le battre sur la ligne d'arrivée : "Je voulais gagner mais je tire mon chapeau à Valverde pour son sprint final. Je ne suis pas déçu mais réaliste : En ce moment Chris Froome et Alberto Contador sont dans une grande forme et ils sont plus effcaces que moi dans le contre la montre. Pour gagner la Vuelta je vais avoir à disputer le meilleur chrono de ma vie et j’aurais besoin aussi que Froome et Contador soient dans un mauvais jour."

Au général, il devance Christopher Froome (Sky Pro Cycling) et Alberto Contador (Team Saxo Bank-Tinkoff Bank) de respectivement 33 et 40 secondes.

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Purito : "Ma condition est excellente"

Joaquin Rodriguez le grimpeur de poche de l'équipe Katusha, ne cesse d'impressionner. En effet, l'Espagnol a encore réalisé un joli numéro lors de la 9ème étape du Tour d'Espagne. Offensif et tranchant dans la dernière bosse du jour à quatre kilomètres de l'arrivée, Purito a lâché tout le monde. Tout le monde sauf Philippe Gilbert, avec qui il s'est relayé jusqu'à la ligne d'arrivée pour résister au gros du peloton. Battu, sans trop combattre, par le Belge au sprint, le Catalan a tout de même pris une jolie deuxième place devant son public. Mais surtout, il a encore réussi à prendre quelques secondes sur ses adversaires, à la fois grâce au temps réel mais aussi grâce aux bonifications. Une nouvelle très bonne journée pour Rodriguez, qui devient un candidat de plus en plus crédible à la victoire finale :



"Je suis très heureux de l’étape du jour. Hélas je ne suis pas parvenu à la remporter parce que Gilbert est un coureur très fort et rapide mais j’ai gagné quelques secondes dans l’affaire", explique l'actuel maillot rouge. "Ma condition est excellente et je suis satisfait de ma performance. C’était difficile aujourd’hui (hier) parce que beaucoup de coureurs voulaient se battre pour la victoire d’étape. Mais je connaissais parfaitement le parcours. Je l’ai fait tant de fois quand j’étais jeune coureur. Beaucoup de gens m’ont encouragé, ce qui a accru ma motivation. Je vais tenter de récupérer des énergies importantes pendant le jour de repos", conclut-il.

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