BCC - Vilmorin (Nicosix)

Semaine du 15 au 21 avril

Tour du Trentin
DOMONT Axel
ZEITS Andrey
HUSAINE OTHMAN Muhamad Adiq
MEINTJES Louis

Flèche Wallonne
BELLEMAKERS Dirk
JEANNESSON Arnold
TANNER David
CARUSO Damiano
JANSE VAN RENSBURG Reinardt
OSPINA Dalivier
PLIUSCHIN Alexandr

R. MCCARTHY Jay

Liège-Bastogne-Liège
BELLEMAKERS Dirk
JEANNESSON Arnold
TANNER David
CARUSO Damiano
PLIUSCHIN Alexandr

La Roue Tourangelle
BAGDONAS Gediminas
DOMONT Axel
LAMOISSON Morgan
PETIT Adrien
ERSHOV Artur
VAUBOURZEIX Thomas

On rend hommage à notre fantasque vainqueur du Tour de Turquie en le prenant comme avatar.

Beau recrutement!
Une pige de 15 jours qui nous aura coûté 4500 euros et rapporté 191 points!
Difficile de faire mieux

Semaine du 29 avril au 04 mai

4 Jours de Dunkerque
BAGDONAS Gediminas
DEMARE Arnaud
VAN POPPEL Danny
HUSAINE OTHMAN Muhamad Adiq
PETIT Adrien
VAUBOURZEIX Thomas

Rund um den Finanzplatz Eschborn-Frankfurt
BELLEMAKERS Dirk
MCCARTHY Jay
DOMONT Axel
JANSE VAN RENSBURG Reinardt
MEINTJES Louis
THOMEL Tino

Szlakiem Grodòw Piastowskich
KERBY Jordan
SAPA Marcin

Vuelta a la Comunidad de Madrid
HERRADA LOPEZ Jesús

Giro d'Italia
ZEITS Andrey
JEANNESSON Arnold
BELLEMAKERS Dirk
OSPINA Dalivier

A l'instar de Shoupak nous estimons nécessaire de faire également un petit point sur l'équipe avant le début du Giro.

D'un point de vue général, nous sommes extrèmement satisfait des résultats généraux avec une deuxième place de D2 qui nous semblait inespérée au début de la saison et surtout avec une avance non négligeable sur le septième.
Malgré tout nous restons souvent au second plan des courses en elles même avec peu de résultats marquants et de grande victoire. La régularité en revanche est de mise et nous permet de nous maintenir tres haut au classement.

Sylvain Chavanel 829 points
Que dire de Sylvain, sinon qu'il a été présent sur tous les fronts depuis le début de l'année. Classiques, Paris-Nice, Panne, il est notre grande satisfaction cette année avec des points marqués partout.
Et la saison n'a fait que son premier tiers. On l'espère sur les championnats de France et sur le Tour où il pourrait nous ramener encore quelques bonnes places et probablement dépasser son objectif de 1000 points qui était son hypothèse haute. Un grand monsieur

Arnaud Démare 255 points
Un début de saison difficile qui semble derrière lui. Entre une crevaison au Samyn, des courses de haut niveau, un sprint loupé au GP de l'Escaut, on commençait à se poser quelques questions. Mais sa victoire sur le GP de Denain puis sur la première étape des 4JDD nous ont redonné le sourire. Il est en retard sur ses temps de passage de la saison dernière mais devrait bien compenser avec les 4JDD justement et le Tour de Picardie qui s'annonce également.

Mustafa Sayar 191 points
Une pige de 15 jours, une victoire en Turquie, et le voila le 3e scoreur de l'équipe. On l'avait pris pour le fun sans jamais se douter de la 'performance' qu'il allait nous sortir. Des points bienvenus qui nous salissent cependant notre réputation de manager intègre. On lui souhaite une suite de carrière à l'abri des quolibets qui ont suivi son Tour de Turquie et sans être inquiété par la patrouille. Il a quitté l'équipe uniquement pour un calendrier qui devenait vierge de courses JT et non de sa sulfureuse réputation. Un gros coup qui pourrait nous ouvrir les portes de la montée (en espérant que celui-ci ne soit pas entâché)

Adrien Petit 148 points
Il coure beaucoup et marque régulièrement. Il a ouvert son compteur de victoire pro sur la Tropicale en début d'année mais loupe un bon classement général pour avoir manqué la bonne échappée. Une crevaison à Majorque sur la 2e épreuve, des sprints régulièrement foirés. Il nous laisse un sentiment d'inachevé. Cependant nous comptons sur lui pour ramener un bon paquet de points encore. Son objectif affiché était de 500 points, cela risque d'être difficile tout de même.

Daryl Impey 120 points
120 points seulement et pourtant une grosse satisfaction du début de saison. Deux victoires (clm SudAf et étape au Pays Basque) et une belle impression sur le Tour d'Oman nous ont fait rêver à un peu mieux de sa part sur MSR et l'Amstel. Il n'a pas répondu présent ces jours là. Il revient sur le Tour de Bavière et on l'espère sur le Tour de France. Son objectif du début de saison est de 200 points. Il devrait le dépasser normalement.

Arnold Jeannesson 92 points
Une petite déception pour sa part. Il loupe une étape sur le Tour d'Oman qui le fait reculer au classement, il a une fringale à la Montagne de la Lure. Assez peu présent également sur les Coupe de France. Son objectif est le Giro où il vise un bon classement général. On va lui laisser le bénéfice du doute et nous serions tres satisfaits s'il finissait dans les 20 premiers mais ses résultats jusqu'à présent nous laissent dubitatifs. Son objectif n'était que de 300 points, il lui reste encore du temps pour l'atteindre

J'ai enfin ma réponse :

Le coureur belge Pieter Vanspeybrouck (Topsport Vlaanderen) a été suspendu trois mois par la Commission disciplinaire de la Fédération belge de cyclisme (RLVB) après avoir été contrôlé positif hors compétition au fénotérol le 28 février, a annoncé son équipe vendredi.

Vanspeybrouck, 26 ans, coureur professionnel depuis 2008, "a déclaré spontanément avoir demandé au médecin lors d'un stage de la Ventoline, mais a reçu à la place du Duovent", explique le communiqué de Topsport qui ajoute que ce médecin pensait, à tort, que le Duovent, contenant du fénotérol, était un médicament autorisé. La commission disciplinaire de la RLVB a estimé que le coureur n'avait pas eu l'intention d'améliorer ses performances sportives ni de masquer l'usage d'un autre produit interdit. Le médecin a reconnu sa faute et présenté sa démission. Vanspeybrouck, qui compte une seule victoire à son palmarès (Giro Bochum en 2011), pourra reprendre la compétition à partir du 30 mai.

Evidemment qu'une telle réussite collective ne peut cacher qu'une seule chose...

A la question, quels objectifs pour le Tour de Californie, voici ce que me répond Sylvain :

@chava_sylvain: @Nicosix_... l objectif c est de monter en puissance pour dauphine championnat et tour et me sortir les tripes comme d hab

Arnaud Demare ne participera pas au Tour cette année...

La voie est libre pour Bouhanni

Inch'allah !

Arnold Jeannesson est le 6eme coureur à dépasser les 100 points cette année alors que seuls 4 coureurs l'avaient fait sur toute une saison l'an dernier.

D'ailleurs, croyez-le ou non, mais nous ne somme plus qu'à 16 points de notre score final de 2012!

Arnold Jeannesson fera sa rentrée au Tour de Suisse après son abandon au Giro

On passe la barre des 2500 points en ce jour.

Finalement la montée ne devrait pas se jouer beaucoup plus haut que la saison dernière

Nous n'avons donc plus que 2000 points à aller chercher...

Belle journée à 80 points aujourd'hui

Victoire de Daryl Impey en Bavière
Van Poppel 2ème et Petit 5eme en Belgique
Caruso 3ème du clm du Giro

C'est plus de points en une journée qu'au cours des 15 derniers jours

Démare, coureur français de mai

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Par Velochrono
Vendredi 31 mai 2013 - 11:40


Gagner trois étapes des Quatre jours de Dunkerque, même quand on est sprinteur, c’est fort. S’adjuger le classement général final en prenant la course à son compte sur l’étape la plus dure, c’est encore plus fort. Arnaud Démare est le coureur français du mois de mai, devant son coéquipier chez FDJ Nacer Bouhanni et la révélation de ces dernières semaines, Yannick Martinez, de l’équipe La Pomme Marseille.

A Dunkerque, entrée plat dessert

Comme Marcel Kittel en 2011 et John Degenkolb en 2012, Arnaud Démare a fait une razzia sur les sprints des Quatre jours de Dunkerque. Mettant néanmoins le cran plus haut : le Picard a su s’appuyer sur les bonifications empochées pour remporter le classement général final de l’épreuve nordiste, exhibant de belles possibilités sur l’étape du Parc d’Olhain et son arrivée en bosse. « Chez les espoirs, j’avais fait deuxième d’un Championnat de France de l’avenir à Ussel, sur un parcours difficile, rappelle-t-il à Velochrono. J’avais montré que je pouvais aussi avoir cette qualité là. » Sprinteur émérite depuis ses tous premiers pas chez les professionnels la saison dernière, Arnaud Démare s’étoffe. « Au Tour des Flandres, si je passe le dernier mont, je suis dans le groupe pour la cinquième place… Maintenant, j’y crois davantage quand il y a un talus dans le final. J’ai réussi à être là sur l’étape la plus dure à Dunkerque, même si c’était plus à ma portée. Au Tour de Bavière, une étape avait réduit le peloton à cinquante unités et j’étais dedans. Je me fais plus violence dans les bosses. » Ca marche et ça marque : l’image de sa prise de responsabilités, maillot rose sur le dos, dans la montée décisive des « Quatre jours » a traduit de façon limpide l’étendue des possibilités du garçon, capable d’être encore plus qu’un sprinteur.

Le maillot rose, Nacer Bouhanni aurait également voulu le porter… sur le Tour d’Italie. Battu à Naples pour la première étape, il n’a jamais trouvé la clé pour battre Mark Cavendish jusqu’à son abandon en deuxième semaine, mais s’est avéré être l’un des adversaires les plus dangereux du Britannique. Sur deux courses différentes, Démare et Bouhanni prouvaient une énième fois leur talent : ils tirent vers le haut leur équipe FDJ mais aussi le sprint français, depuis maintenant plus d’un an. Ils parviennent jusqu’à présent à se partager responsabilités, ambitions… et même les poisson-pilotes. Arnaud Démare raconte : « A Dunkerque, le premier jour, on a travaillé dans le sprint final avec Mickael Delage et Geoffrey Soupe. Le deuxième, Mickael voile sa roue, le troisième, il crève. Il a fallu changer les rôles et improviser avec Geoffrey, mais il l’a fait à la perfection. J’avais vu ce qu’il était capable de faire quand on a gagné la première étape, et le principal, c’était d’avoir une confiance mutuelle. J’avais cette confiance, j’ai pu être placé au bon moment, je n’ai été lancé ni trop tôt ni trop tard. Geoffrey a su réagir à ces changements de plans. »

Probablement pas de grand tour en 2013

Ces trois victoires d’étapes consécutives d’Arnaud Démare ont paru après coup très logiques : le plus rapide, intrinséquement, au départ de l’épreuve, il n’a fait que concrétiser une supériorité écrite sur le papier. « Mais c’est toujours difficile de tenir son rang quand on est favori sur une course, nuance-t-il. Il faut gagner. » Le premier succès est un déclic, la suite en découle, « l’euphorie » s’installe. « Et quand l’étape des monts est arrivée, je me dis que je ne pouvais pas laisser filer ce maillot, continue-t-il. J’avais réalisé une belle prestation sur le Tour des Flandres, je me suis mis dans la tête que ce n’était pas plus dur. J’ai tenu, c’était un petit exploit et j’en étais très heureux. C’était la victoire de toute une équipe où tout le monde avait joué le jeu à fond. » Mais aussi la victoire de la patience : Arnaud Démare n’avait levé les bras qu’une seule fois avant ce mois de mai, son équipe lui privilégiant un programme relevé pour progresser. « J’ai commencé dès le Tour Down Under, j’ai enchaîné les classiques, découvert Milan-Sanremo, Gand-Wevelgem, le Tour des Flandres, Paris-Roubaix…, liste-t-il. Des courses de 250 kilomètres, avec des adversaires très coriaces. C’était pas mal d’apprendre sur ces courses, mais quand je suis arrivé sur des épreuves plus à ma portée, je me suis dit que c’était à mon tour de m’imposer. »

« Je n’étais plus dans l’apprentissage, poursuit-il. J’étais déjà très motivé quand j’ai gagné au Grand Prix de Denain. J’avais fait ma coupure après cette victoire et l’envie était toujours là. » Elle ne l’a pas quittée : la deuxième partie de saison du Beauvaisien s’annonce riche en objectifs et comporte une ligne directrice, la recherche du succès. « Le but, c’est surtout d’aller chercher des gagnes », signale celui qui ne va sans doute pas courir le moindre grand tour en 2013. Absent sur le Giro, pas prévu au Tour, rétissent quant à une participation à une Vuelta difficile, il s’oriente plutôt vers un enchaînement Tour de Wallonie – Tour de Pologne – Eneco Tour – Vattenfall Cyclassics – Grand Prix de Plouay. « Un mois d’août chargé », « un sacré bloc », qui à son sens peut lui apporter tout autant qu’une course de trois semaines. L’an dernier, il avait réussi à tirer profit de l’addition Pologne – Eneco pour surprendre son monde en gagnant à Hambourg. Il y reviendra en tenant du titre tout en sachant « qu’il est compliqué de récidiver » : « Je vais prendre les courses comme elles viennent. »


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