Fogerty Cycling Team (FCT) - Fabrice

Steven Tronet remporte le GP de Lillers (et non pas Lilliers) !







http://www.lavoixdunord.fr/sports/gp-de-lillers-steven-tronet-vainqueur-a-l-unanimite-ia228b0n1974867

J'attends l'arrivée de Wallace pour me mettre les deux photos d'arrivées de PN et le podium publiées sur Cycling News   .

  

Merci à Wallace mon reporter photo préféré !

 

http://www.cyclismactu.net/news-paris-nice-arthur-vichot-je-me-suis-surpris-39138.html

Fracture de la clavicule pour Dockx à Drenthe.

Tour de Catalogne

Pinot de retour après sa tendinite

Le Tour de Catalogne s'élancera dès ce lundi et ce jusque dimanche. A cette occasion, l'équipe FDJ.fr a dévoilé sa sélection avec le retour de Thibaut Pinot. En effet, il avait du quitter les routes de Tirreno-Adriatico à cause d'une douleur au genou. Examiné par le médecin de l'équipe Gérard Guillaume à son retour, il s'agissait selon ce dernier d'une "tendinite du tendon du quadriceps du côté gauche", qui a été traitée par laser.
"Nous allons courir avec humilité. Thibaut a été retardé dans sa préparation suite à des douleurs au genou et nous nous devons de rester vigilants, même s'il se sent mieux." explique Yvon Madiot directeur sportif de l'équipe sur l'épreuve. "Il s'agira surtout pour lui de reprendre sereinement et de regagner une certaine confiance".

Dans la série, ça continu ...

Cholet-Pays-de-Loire Fracture du trochanter pour Jeandesboz

Victime d’une lourde chute survenue pendant Cholet-Pays de Loire dimanche, Fabrice Jeandesboz (Europcar) souffre d’une fracture du trochanter (partie supérieure du fémur) et a été opéré à l’hôpital d’Angers. Le coureur de Loudéac avait été victime de la même fracture au cours du Grand Prix d’Ouverture « La Marseillaise » au début du mois de février et avait été éloigné des pelotons pendant six semaines. Le reste de sa saison 2014 est dorénavant fortement compromis.

Thibaut Pinot : "C'est vraiment frustrant"



C'est un Thibaut Pinot sans pression qui s'est confié à Cyclism'Actu à la veille du départ du Tour de Catalogne. Le coureur de la FDJ.fr a accepté de se poser quelques minutes pour répondre à nos questions, à moins de vingt minutes de l'embarquement dans l'avion le menant en Espagne. Victime d'un début de saison cauchemardesque, le jeune grimpeur français souhaite désormais remonter la pente, palier par palier. Angine blanche au Tour d'Oman, tendinite au genou à Tirreno-Adriatico, le Franc-Comtois n'a pas encore eu l'occasion de s'exprimer sur son terrain de jeu favori. Pourtant, tout avait bien démarré avec un Grand Prix La Marseillaise plutôt réussi, qu'il avait réussi à animer dans le final. Depuis, tout n'a été que frustration et contrariété. Pinot en parle, et se penche sur la suite, avec notamment son fameux Tour de Romandie.



Thibaut, avant tout, comment va votre genou ?

Le genou va mieux. Mais est-ce qu'il est guéri complètement ? Je ne suis pas sûr. Il va falloir que j'y aille doucement quand même, il est encore fragile. On verra.


« Je croise les doigts »

Quelle était la nature exacte de cette blessure ?

C'était une tendinite au niveau du quadriceps. Le docteur de l'équipe, Gérard Guillaume, a décidé de traiter cela au laser, aux infra-rouges. Et ça a l'air de marcher, car entre la douleur que j'avais en sortant de Tirreno et la douleur que j'avais deux jours après, j'ai senti la différence. Après avoir fait deux traitements de vingt minutes, je peux dire que c'est vraiment efficace. J'espère que tout se passera bien maintenant avec mon genou. Je croise les doigts.



Est-ce un traitement d'urgence car vous souhaitiez revenir le plus vite possible ?

Non, pas spécialement. C'est quand même un traitement qui est régulièrement utilisé chez les sportifs. De toute façon, même si je n'avais pas fait la Catalogne, j'aurais fait en sorte de régler rapidement cette blessure.




Cette tendinite est-elle derrière vous ?

Dans les semaines et les mois qui viennent, j'espère qu'elle ne se relancera pas. Mais ce qui est sûr, c'est qu'elle peut se réveiller cette semaine. Le vrai problème en fait, c'est que l'on a pas trouvé la raison exacte de cette tendinite au mois de mars. Je suis plus inquiet par rapport à ça.


« Sur Tirreno, il fallait que j'arrête »

Du coup, on vous imagine frustré par ce début de saison...

Oui, c'est très frustrant. Sachant en plus que j'avais passé un de mes meilleurs hivers depuis mon passage chez les pros. J'avais bien roulé, je n'étais pas fatigué, j'avais de bonnes sensations, donc c'est surtout frustrant par rapport à ça. C'est dommage, tout le travail que j'ai fait cet hiver tombe à l'eau car la condition n'est maintenant plus aussi bonne qu'avant.



A Oman, vous étiez déjà prêt à faire un gros « truc » ...

C'était frustrant également [il est tombé malade avant le départ]. Comme pour Tirreno-Adriatico. Ce sont deux courses où, avec de bonnes sensations, j'aurais pu faire un bon résultat.



Mais sur Tirreno-Adriatico, vous avez tenté de faire quelques étapes...

Je suis arrivé sur Tirreno avec un mal de genou, donc ce n'était pas le top. Que ce soit sur les étapes de plaine ou de montagne, je ne pouvais pas me mettre en danseuse alors que moi, j'ai justement l'habitude d'adopter cette position dans les bosses. J'ai quand même essayé un petit coup de continuer pour voir si ça passait, mais la douleur était de pire en pire, donc ça ne servait à rien d'insister. Et puis le problème, c'est que mon mal de genou a amené un mal de dos. J'avais de fortes douleurs dans le dos également. C'est un tout, il fallait que j'arrête.


« Mon objectif en Catalogne, prendre du plaisir »

Quand vous voyez que les Valverde, Contador, Froome et autres sont déjà tous en forme, c'est d'autant plus rageant ?

Oui, je ne peux pas montrer ce que je sais faire. Et cette semaine sur le Tour de Catalogne, j'ai peur que ce soit pareil. Je risque d'être à court de condition, je n'ai pas encore vraiment couru. Surtout qu'après Tirreno, je ne me suis pas super bien entraîné, je n'ai fait que deux petites journées. Du coup, je pense que je vais être encore frustré cette semaine, mais j'espère quand même prendre du plaisir sur le vélo. Je ne sais pas si j'aurai la condition pour faire une place dans les 10 ou un truc au général, mais si je finis la semaine en ayant pris du plaisir et en ayant retrouvé des sensations, ce sera le principal.



Des ambitions mesurées donc ?

Oui, clairement. Je ne suis pas du tout dans la même condition que l'année dernière. Mon seul objectif, c'est prendre du plaisir, et pourquoi pas en prenant des échappées. C'est dommage, car le Tour de Catalogne était mon premier vrai gros objectif de l'année. Il y a des arrivées au sommet, un beau plateau pour se jauger, c'est très rageant. En plus, dans la foulée il y a le Tour du Pays Basque qui est une course qui ne me convient pas vraiment. Il faudra que j'attende le Tour de Romandie pour pouvoir retrouver des ambitions en vue d'un classement général.




Du coup, comment ça se passera au sein de l'équipe FDJ.fr en Catalogne ?

Je ne sais pas vraiment. On verra mercredi soir où ça en est, si j'ai quand même quelques sensations ou pas. Sinon, il y a des gars qui marchent bien comme Alexandre Geniez ou Arnold Jeannesson. L'équipe ne compte pas que sur moi.


« J'ai peur que la première partie de saison soit gâchée »

Vous visiez le triptyque Tour de Catalogne, Tour du Pays Basque, Tour de Romandie. Comment envisagez-vous cette période désormais ?

Mon objectif maintenant, ça reste le Tour de Romandie. Pour le Tour du Pays Basque, tout dépend de comment ça se passe ici en Catalogne. Si je finis bien le Tour de Catalogne, je pourrais peut-être y aller avec quelques ambitions. Pour moi, le Tour de Catalogne est maintenant devenu une course de préparation.



Avez-vous peur que votre début de soit déjà gâché ?

J'ai peur que cette première partie de saison soit gâchée, c'est sûr. Ce que je me dis, c'est qu'en 2012, quand j'étais très bon sur le Tour, j'avais fait un début de saison aussi mauvais que celui-là. C'est ce qui me rend un peu optimiste.



Ce « temps perdu » peut-il jouer en votre faveur au niveau de la fraîcheur ?

Ça peut jouer, mais on est coureur cycliste, on est compétiteur. On a envie de faire des courses. Moi, je suis quand même super déçu de louper des courses, que ce soit parce que je suis malade ou parce que j'ai mal au genou. Abandonner une course, pour moi, c'est vraiment difficile. L'an passé, je n'en ai bâché qu'une...


« Je ne pense pas au Tour »

Comment ça va se passer ces prochaines semaines ?

Déjà, je veux finir ce Tour de Catalogne. Après, le programme ne changera pas. J'aurai le Pays Basque et la Romandie, puis coupure. On essayera d'oublier ce début de saison, et je ciblerai le Tour de Suisse, le Tour de France puis la Vuelta.



Le Tour, vous y pensez du fait de ce retard dans votre préparation ?

Non pas du tout. Je suis concentré sur la Catalogne, le Tour ce n'est pas pour tout de suite.

Sinon, il y a eu quelques bonnes nouvelles pour la FDJ.fr, notamment sur Paris-Nice...

Je n'ai pas eu trop l'occasion de suivre ça. J'étais en même temps sur Tirreno-Adriatico. Après, évidemment, on était au courant notamment via les réseaux sociaux. Mais c'est clair que ça fait plaisir et ça crée une bonne dynamique. On va essayer de continuer cette semaine.

Tour de Catalogne
Lemarchand :
Lemarchand : "Très dur à l'avant"

Par Renaud BREBAN
Publiée le 25/03/2014 à 10:34



Objectif atteint pour la Cofidis, solutions crédits. L’équipe nordiste a pris la tête du classement de la montagne grâce à l’échappée de Romain Lemarchand. Présent dans l’échappée matinale en compagnie du Belge Boris Vallée (Lotto Belisol Team), a passé en tête de toutes les ascensions du jour et occupe la tête du classement avec 22 points, soit 6 de plus que Vallée. "C’était très dur à l’avant, très long, on est partis au bout de 15 km, mais seulement à deux (avec Boris Vallée, de Lotto-Belisol), donc c’était un peu court. L’objectif était d’aller le plus loin possible, de passer les grimpeurs, pour prendre le maillot (de meilleur grimpeur), mais ce n’était pas facile, il y avait beaucoup de vent de face. Maintenant que j’ai le maillot, l’objectif va être de le défendre. Je sors des courses dans le Sud de la France et des Trois Jours de la Flandre, c’est une période où j’aimerais désormais avoir des résultats."

Classement de la montagne :
1- Romain Lemarchand (Cofidis, solutions crédits) 22 points
2- Boris Vallée (Lotto Belisol Team) 16 points
3- Amets Txurruka (Caja Rural) 10 points
4- Cameron Wurf (Cannondale Pro Cycling) 8 points
5- Gianluca Brambilla (Omega Pharma-Quick Step) 6 points
...
6- Ivan Basso (Cannondale Pro Cycling) 6 points
8- Steven Kruijswijk (Belkin Pro Cycling) 4 points
9- Peter Stetina (BMC Racing Team) 3 points
10- Chris Froome (Sky Pro Cycling) 2 points

Tour de Catalogne

Pinot : "Il manque le ptit truc"

Il est arrivé sur le Tour de Catalogne sans certitudes quant à ses sensations. Mais Thibaut Pinot a probablement dû se rassurer, mercredi, lors de l'arrivée en altitude à la station de La Molina. Bien placé à l'avant du peloton durant toute l'ascension, le coureur de la FDJ.fr n'a craqué que dans le dernier kilomètre, au moment où les favoris ont fait parler leur punch. Quinzième de l'étape à 27 secondes du vainqueur Joaquin Rodriguez (Katusha), le grimpeur français confiait quelques mots auprès de lequipe.fr à son arrivée sur la ligne :

"Je me sentais moyen, mais c’est normal, je manque de compétition. Je suis content d’avoir pu être dans le final avec tous les meilleurs, mais il manque le petit truc en plus. En plus, l’arrivée ne correspondait pas vraiment à mes qualités, mais on verra, je suis plutôt content, les sensations sont pas mal."

Le directeur sportif de la FDJ.fr, Yvon Madiot, expliquait quant à lui sur le site de la formation du Trèfle : "On peut dire ce soir que Thibaut effectue une bonne rentrée. Bon, lui est bien capable d’être mécontent quand je vais aller le voir à l’hôtel tout à l’heure mais c’est quand même pas mal du tout. Une bonne base de travail pour lui. Je veux croire qu’il s’est rassuré avant la deuxième étape de montagne jeudi."

Yvon Madiot a également souligné le bon travail des coéquipiers de Pinot, venus le replacer au pied de la montée finale : " Alexandre Géniez ne se sentait pas très bien mais nos autres grimpeurs ont fait du bon boulot. Arnold a accompagné Thibaut jusqu’au dernier kilomètre quand le rythme s’est vraiment accéléré. Jérémy et Kenny étaient là jusqu’à 2,5 km du but. Dans ces courses, il n’y a pas vraiment de bataille, les favoris attendent vraiment le dernier moment pour attaquer. Il est vrai que ce sont des cols assez longs mais très roulants. Si je m’en tiens à mon équipe, ce fut une bonne étape !"

Rudy Molard, 2e de la 6e étape du Tour de Catalogne.

http://www.cyclismactu.net/news-tour-de-catalogne-clement-en-finisseur-la-video-39384.html

Romain Lemarchand sur le podium du Tour de Catalogne avec le maillot rouge de la montagne.





Avec 22 points engrangés dans l’étape du jour, Romain lemarchand a pris la tête du classement de la montagne ce lundi 24 mars. l’échappée matinale a payé. Dés les premiers kilomètres, deux coureurs sont sortis du peloton : Romain Lemarchand (Cofidis) et Boris Vallée (Lotto Belisol Team). Ils ont pris rapidement plus de cinq minutes sur le peloton. Romain Lemarchand en a profité pour passer en tête au Montsoriu. Malgré la tentative d’Amets Txurruka (Caja Rural) lancé seul à leur poursuite, le duo de tête a gardé une petite avance sur l’Espagnol dans la principale difficulté du jour permettant à Romain Lemarchand de s’assurer le maillot du meilleur grimpeur à l’issue de cette première étape.

Quelqu'un peut il me coller l'image de Molard 2e hier en Catalogne qui est sur Cycling News ?
Merci.

Merci Orbea   .
Depuis que les photos de cycling news ne se prennent plus d'un simple copier/coller je rame !

Tour de Catalogne

R. Molard : "Il fallait jouer malin"



Rudy Molard a attrappé hier matin la bonne échappée de ce Tour de Catalogne. A 24ans, le coureur de la Cofidis a même failli signé sa première victoire professionnelle, qui plus est sur une épreuve World Tour. Auprès de L'équipe, le français a expliqué le déroulement de sa course :

"J’avais déjà été dans une échappée sur ce Tour de Catalogne [...] et j’ai remis ça aujourd’hui. Ca a roulé très vite, on était neuf et il y avait quelques machines. Je savais que dans le final il fallait jouer malin, avec notamment des anciens comme Voigt. Ce n’était pas facile, j’ai une petite pointe de vitesse, mais quand l’arrivée est plus dure, là c’était vraiment trop plat, et en descente même. Je me sens en tout cas de mieux en mieux, je vais enchaîner avec le Circuit de la Sarthe, Paris-Camembert, la Flèche Wallonne et Liège-Bastogne-Liège."

L'histoire du week-end. Jeandesboz a la scoumoune
25 mars 2014 à 07h30 / Jérôme Le Gall /



Au départ de Cholet, Fabrice Jeandesboz avait retrouvé ses supporters avec plaisir.. Photo Jérôme Le Gall

La ville du mouchoir a été, dimanche, le théâtre d'une histoire triste à pleurer. De retour dans le peloton à Cholet après sa chute au Grand Prix La Marseillaise, le Costarmoricain Fabrice Jeandesboz s'est, à nouveau, fracturé le grand trochanter.
Des plaies aux coudes, aux jambes, aux mains... Des courbatures à foison... La chute massive survenue à mi-course a causé bien des dégâts dans le peloton de Cholet Pays de Loire. Contraint à l'abandon, le Costarmoricain Arnaud Gérard se plaignait du dos en descendant du bus de Bretagne - Séché Environnement mais il relativisait : « Il y a pire. J'ai vu Fabrice par terre. Il ne pouvait pas bouger. Il s'est sûrement cassé quelque chose. La hanche ou le fémur. »

« Non, pas lui ! »

« Non, ce n'est pas possible! Pas lui! », a hurlé Jean-Luc Hamonet au téléphone en apprenant la chute de son protégé. Entraîneur de Fabrice Jeandesboz, Hamonet était atterré devant la déveine du Breton de Ploubalay. Déveine, malchance, poisse, scoumoune... Il n'y a pas assez de synonymes pour illustrer les malheurs du coureur d'Europcar. On se souvient déjà qu'une déchirure intercostale lui avait fait souffrir le martyre lors de son premier Tour de France en 2011. Ça ne l'avait pas empêché de voir Paris (il boucla aussi le Tour 2012) et il avait même fini très fort la troisième semaine. Il aurait alors mérité le maillot jaune du courage. Depuis, il l'a virtuellement porté plus souvent qu'à son tour : - En août dernier, sa saison prend fin au Tour du Portugal : fracture de la mâchoire et du coude. - Le 2 février, il tombe au Grand Prix de la Marseillaise. Il abandonne mais continue à s'entraîner, malgré la douleur, pendant trois jours. Jusqu'à ce qu'on lui décèle une fracture du grand trochanter droit. - Dimanche, son retour à la compétition se termine à l'hôpital d'Angers où nous l'avons joint hier matin. « J'ai été opéré hier soir, on m'a posé un clou, et je ne vais pas rentrer chez moi avant jeudi ou vendredi. Quand j'ai été pris dans la chute collective, j'ai compris tout de suite que c'était plus grave qu'à La Marseillaise. Le grand trochanter (NDLR : entre la hanche et le fémur) est cassé plus profondément. C'est encore côté droit mais pas au même endroit. L'autre fracture était bien consolidée et je n'ai pris aucun risque en reprenant à Cholet », précisait Fabrice (29 ans), qui s'interroge désormais quant à son avenir.

Stop ou encore ?

« J'en ai pour, au minimum, trois mois d'arrêt. J'avoue que le moral n'est pas au top et je me demande si ça vaut le coup de continuer quand on a une femme (Cécile) et une petite fille (Livia) de 10 mois. Je me pose la question et je vais, hélas, avoir le temps de réfléchir. » Pro chez Besson Chaussures en 2009 puis chez Saur-Sojasun (2010 à 2012) et Sojasun (2013), Fabrice avait déjà cru sa carrière terminée à l'arrêt de Sojasun mais il avait trouvé refuge chez Europcar où il avait débuté 2014 de manière très prometteuse : il s'était classé 6ede la Tropicale Amissa Bongo. Puis la déveine, la malchance, la poisse, la scoumoune ont encore pris sa roue. Triste, triste à pleurer...

Thomas Voeckler : «Une période délicate»

Même s'il a apprécié le tracé de la dernière étape du Tour de Catalogne et s'est classé troisième dimanche, Thomas Voeckler n'est pas encore satisfait de sa condition.


Thomas Voeckler, n'est pas encore au mieux de sa condition. (L'Equipe)

Thomas Voeckler (FRA/Europcar, troisième de l’étape) : «J’étais un peu mieux que samedi mais je suis encore loin d’être aérien. Mais bon, la motivation est là. J’aurais aimé pouvoir suivre (Lieuwe) Westra, mais il faut avouer qu’il était plus fort. J’ai préféré passer à l’offensive, j’aime bien ce genre de circuit où tu alternes efforts et récupération. Je ne suis pas un as sous la pluie, mais là du coup une fois qu’on avait fait un tour de circuit, j’avais moins d’appréhension ensuite dans les descentes, parce que je les connaissais. Je suis quand même déçu de ma condition, c’est une période délicate.»

Rudy Molard, deuxième d'étape sur le Tour de Catalogne

Merci Wallace, je l'aurai 2 fois 2e ainsi   .

Ah merde, j'avais pas vu que ça avait été déjà fait... quel gland   

Pas grave, merci quand même   

Critérium international - Riblon: en retard... comme l'an dernier



En retard de forme, Christophe Riblon reste serein, sûr d'être dans les temps pour retrouver une condition de pointe... comme l'an passé, lors de son magistral succès dans l'étape du Tour de France à l'Alpe d'Huez.

Critérium international - Riblon: en retard... comme l'an dernier Plongé dans l'anonymat du peloton du Critérium international (48e au classement final), le Picard a gardé le sourire. D'autant plus facilement que son équipe AG2R La Mondiale accumule les performances depuis le début de la saison. "Je ressens une attente, on me pose des questions. Mais, cet hiver, j'ai pris du retard dans ma préparation. Je sais ce qu'il me reste à faire", affirme-t-il en se voulant rassurant: "Tout va bien. Avec l'équipe, on a fait le choix que je ne courre pas Paris-Nice et Tirreno-Adriatico. Il valait mieux que je reste chez moi et que je mette les bouchées doubles".

"Mon entraîneur (Jean-Baptiste Quiclet, ndlr) est dans l'optique du Tour du Pays Basque (7-12 avril), j'ai travaillé en ce sens, quitte à manquer de fraîcheur au Critérium international", explique-t-il. Après le Pays Basque, ce seront les classiques ardennaises (Amstel Gold Race, Flèche Wallonne, Liège-Bastogne-Liège), dans lesquelles il se mettra au service des deux chefs de file de l'équipe française, Romain Bardet et surtout le Colombien Carlos Betancur: "J'irai pour gagner avec Carlos, ce n'est pas pour faire un résultat pour moi-même. Il faut savoir où est son niveau et travailler pour l'équipe".

A 33 ans, le double vainqueur d'étape du Tour de France (Ax-3 Domaines en 2010, Alpe d'Huez en 2013) se sent porté par la dynamique collective. Il n'a connu qu'une seule formation depuis ses débuts professionnels en 2005, et s'est engagé avec elle sur la durée, jusqu'à fin 2016. "Il faut un ou deux coureurs protégés, les autres sont là pour travailler pour eux, pour ma part j'aurai d'autres opportunités, estime-t-il. L'équipe marche très bien, ça me laisse le temps d'arriver tranquillement. Personne ne me met la pression, d'autres coureurs font les résultats et le font très bien".

Tour du Pays basque

FDJ.fr derrière Thibaut Pinot



L’équipe FDJ.fr va prendre le départ du Tour du Pays basque avec ambition ! L’équipe de Marc Madiot aligne une équipe solide en montagne et devrait rivaliser avec les meilleurs notamment grâce à Thibaut Pinot, 13ème du Tour de Catalogne ou encore Arthur Vichot, 3ème de Paris-Nice. "C'est une belle équipe que nous alignons sur ce Tour du Pays Basque. Thibaut Pinot est en forme, nous attendrons qu'il confirme la bonne rentrée qu'il a effectuée au Tour de Catalogne.  Arthur Vichot, lui, pourra se faire plaisir et viser une victoire d'étape. Le profil de certaines étapes, avec des montées courtes et exigeantes, peut correspondre à ses capacités et lui permettre de prendre confiance avant les Classiques ardennaises. "

Tour du Pays Basque

BMC : "Le général avec Cadel"




Cadel Evans se situe pour le moment à 36 secondes d'Alberto Contador au classemenent général du Tour du Pays Basque. Pour son directeur sportif, Valerio Piva, "Le final était réservé aux sprinters, sur le papier. Tout le monde attendait un coureur d'Orica ou Sky. Ils ont aidé Tinkoff-Saxo et nous avons également collaboré car nous pensions avoir nos chances avec Philippe. Mais Martin était bien trop fort. Derrière, notre leader termine dans le bon groupe. C'était une journée difficile mais mercredi, ce sera aussi dur. Il faudra essayer encore".

Pour Yvon Ledanois, BMC peut encore prétendre à la victoire finale. "Avec Cadel, Tejay et Samuel, nous avions 3 leaders mais ce fut une étape compliquée. Le chrono va changer la stratégie de course et nous avons une bonne chance avec Cadel, qui est notre leader, aux côtés de Tejay, tandis que Samuel est plus un capitaine de route car il est à domicile, il connaît bien les routes. L'objectif numéro 1 est le général avec Tejay et Cadel et saisir une opportunité avec Samuel", explique-t-il à Biciciclismo.