Panini Cycling Team - olaf

Vandenberg lors de Gand-Wevelgem

La victoire de De Gendt aujourd'hui sur le Tour de Catalogne

C'est qu'il avait peur d'oublier son prénom ?

Engoulvent : "Une course que j'adore"

Lauréat des 4 Jours de Dunkerque ainsi que du prologue du Tour du Luxembourg en 2012, Jimmy Engoulvent n'a pas encore débloqué son compteur en cet exercice 2013. Le coureur de la Sojasun a d'ailleurs du mal, selon ses propres mots, à complètement entrer dans sa saison : "Je ne suis pas encore au niveau, je recherche des sensations. C’est bizarre car j’ai l’impression d’avoir passé un bon hiver" a-t-il confié à Ouest-France. Cela ne l'empêche pas, néanmoins, d'avoir des ambitions. Et ce, dès le début de la semaine prochaine avec le Circuit de la Sarthe, une épreuve qu'il connait bien puisqu'étant originaire de cette région.

Mais, c'est bien quelques jours plus tard que le protégé de Stéphane Heulot devra sortir le grand jeu. Le Dimanche 7 Avril est marqué d'une croix rouge sur son calendrier, et c'est sur Paris-Roubaix qu'il rêve de briller, lui qui avait pris une bonne 21e place l'an passé : "C’est une course que j’adore mais pour faire un résultat à Roubaix, il faut être dans un grand jour, avoir un bon placement et ne pas connaître de malchance. Je vais essayer de suivre les meilleurs car à chaque fois que j’ai anticipé, cela ne m’a pas réussi." L'avenir nous dira si cette 'nouvelle' tactique lui sera bénéfique ...

Commentaires de Clement sur les aveaux de Schumacher :

Stef ‏@Stefclement
Schumacher confesses doping; that's another victory for me: Bayern Rundfahrt 2008 TT. Keep filling my palmares boys?! Let's move on people!

Frederik Willems devra accompagner Roelandts aussi loin que possible pendant le Ronde

olaf a écrit:

Engoulvent : "Une course que j'adore"

Lauréat des 4 Jours de Dunkerque ainsi que du prologue du Tour du Luxembourg en 2012, Jimmy Engoulvent n'a pas encore débloqué son compteur en cet exercice 2013. Le coureur de la Sojasun a d'ailleurs du mal, selon ses propres mots, à complètement entrer dans sa saison : "Je ne suis pas encore au niveau, je recherche des sensations. C’est bizarre car j’ai l’impression d’avoir passé un bon hiver" a-t-il confié à Ouest-France. Cela ne l'empêche pas, néanmoins, d'avoir des ambitions. Et ce, dès le début de la semaine prochaine avec le Circuit de la Sarthe, une épreuve qu'il connait bien puisqu'étant originaire de cette région.

Mais, c'est bien quelques jours plus tard que le protégé de Stéphane Heulot devra sortir le grand jeu. Le Dimanche 7 Avril est marqué d'une croix rouge sur son calendrier, et c'est sur Paris-Roubaix qu'il rêve de briller, lui qui avait pris une bonne 21e place l'an passé : "C’est une course que j’adore mais pour faire un résultat à Roubaix, il faut être dans un grand jour, avoir un bon placement et ne pas connaître de malchance. Je vais essayer de suivre les meilleurs car à chaque fois que j’ai anticipé, cela ne m’a pas réussi." L'avenir nous dira si cette 'nouvelle' tactique lui sera bénéfique ...

Jimmy Engoulvent ‏@JimmyEngoulvent
Mononucléose détectée mais sur le point se terminer. Programme inchangé, Val d'Ile U, Sarthe, Roubaix, Denain, TroBro

"Il n'y avait rien à faire contre un Fabian Cancellara aussi fort", a déclaré Greg Van Avermaet après la course. "Je peux être satisfait de ma course, mais au moment le plus crucial, je n'ai pas pu suivre Cancellara. Dans le final, j'avais encore quelques équipiers, mais ce n'était pas à nous de faire la course ou d'attaquer. Lorsque Cancellara a démarré, je ne pouvais vraiment pas réagir. De toute évidence, je n'avais pas les jambes pour suivre Cancellara et Sagan. J'ai dû rapidement m'incliner. Finalement, j'ai quand même réussi à décrocher une place dans le top-10".

Degenkolb : "Top 10 important"

John Degenkolb s’est rassuré hier en prenant la neuvième place du Tour des Flandres. C’est le premier résultat probant de l’Allemand depuis le début de saison. On le sait avec le passage en World Tour de la formation Argos Shimano, beaucoup de pressions reposent sur les épaules de ses deux sprinters vedettes Marcel Kittel et John Degenkolb. Si le premier a déjà levé les bras sur le Tour d’Oman et sur Paris-Nice, le second connait un début de saison difficile. Affectionnant tout particulièrement les classiques Flandriennes, Degenkolb voit en cette neuvième place sur le Tour des Flandres un signe encourageant pour la suite. Il commente ce résultat pour Cyclism’Actu.

« Ce top 10 sur une épreuve World Tour est très important pour moi. Je m’étais préparé cette année dans le but de briller sur les Flandriennes mais j’ai été contrarié par une blessure à la jambe survenue à Tirreno-Adriatico. Sur ce Tour des Flandres j’ai senti très vite que j’étais dans un bon jour. L’équipe Argos a fait un excellent travaille aujourd’hui, tout a très bien fonctionné. Je suis déçu de ma performance sur le sprint final où j’étais mal placé. Si je n’avais pas fait cette erreur, je pense qu’un top 5 était envisageable. Mais je me satisfais quand même de ce résultat car sur les dernières courses je n’étais pas au top et cette bonne journée me redonne beaucoup de confiance pour la suite et notamment pour Paris-Roubaix qui est un de mes grands objectifs. »

DEHAES 7È AU GP DE L'ESCAUT

Aujourd'hui, le 101è Grand Prix de l'Escaut s'est disputé, une épreuve longue de 204,2 kilomètres. Lotto Belisol se rendait à Anvers avec Kenny Dehaes comme leader. En premier lieu, il y a eu un groupe de tête de neuf hommes, ils ont été rattrapés dans la première moitié de course. Le peloton fut un moment divisés en bordures, mais un regroupement a suivi. Trois coureurs ont ensuite choisi de s'échapper: Borchi, Brammeier et Vandousselaere. Leur échappée s'est terminée à 29 kilomètres du but, dans le deuxième des trois circuits locaux à Schoten. Le peloton s'st dirigé vers un sprint massif. Les coureurs Lotto Belisol ont emmené Kenny Dehaes vers ce sprint, il s'y est classé septième. L'Allemand Marcel Kittel s'est succédé à lui-même en tant que vainqueur. Mark Cavendish, qui était à la poursuite du record de quatre victoires, a terminé à la deuxième place.

Kenny Dehaes: "Quand je vois qui termine devant moi, je ne suis pas mécontent. J'ai bien espéré un meilleur résultat, j'y allais pour le podium. A un kilomètre et demi de l'arrivée, j'ai été replacé par Fréderique Robert. Greg Henderson et Jonas Van Genechten ont lancé le sprint pour moi. Avec le vent de face, je devais faire attention à ne pas me retrouver en tête trop tôt, mais je n'ai pas pu prendre la roue de quelqu'un. Le rôle de leader est délicat, l'équipe travaille pour vous, mais sprinter reste la même chose. A Majorque, j'ai réussi à remporter une étape et j'ai remporté la Handzame Classic."

Vandenbergh qui a fait une belle course

Van Avermaet derrière Flecha a fait un très bon résultat

Hayman à l'attaque

V.Avermaet : "J'ai attaqué"

On ne pourra pas leur reprocher de ne pas avoir essayé. Après sa très bonne quatrième place sur Paris-Roubaix dimanche dernier, Greg Van Avermaet prouve qu’il a toujours de bonne jambe et a parfaitement servi son équipe et plus particulièrement son leader, le Champion du Monde, Philippe Gilbert. Auteur d’une attaque dans la dernière ascension, il a obligé Peter Sagan à réagir et à se dévoiler. Malheureusement pour lui il n’y avait rien à faire face au Slovaque qui a vaincu Gilbert dans un sprint à trois. Van Avermaet, qui finit finalement 6ème, revient sur sa course pour Cyclism’Actu.


"Ça n’a vraiment pas été facile pour moi aujourd’hui car je n’avais pas de bonnes jambes en début de course. Je me ressentais encore des efforts de Paris-Roubaix. Cela s’est amélioré au fil de la course mais je n’avais quand même pas la jambe pour gagner aujourd’hui. Je suis content de ma course et de celle de l’équipe. Nous avons essayé. Quand j’ai attaqué, il n’y a pas eu de réactions au début, j’ai pris 200, 300 mètres mais quand Sagan a lâché les chevaux, c’était impossible de résister. Il est vraiment très fort."

Van Avermaet ne fera ni la Flèce ni L-B-L : c'est bien normal après le début de saison qu'il a fait
Devolder est lui en repos depuis hier et devrait reprendre au Tour de Belgique

Rubean Plaza gagne l'étape et le général du Tour de Castille et Leon : bravo à lui

Pas de chance pour la formation Caja Rural. Transparente lors du Tro Bro Leon (Manuel Cardoso finit loin à la 43ème place), l'équipe espagnole a également perdu Ivan Velasco sur blessure. Directement emmené à l'hôpital après sa chute, les radios ont révélé une fracture de la clavicule gauche ainsi que plusieurs contusions au poignet gauche. Il devrait subir ce lundi une intervention chirurgicale

Vuelta a Castilla y Léon : Plaza, « c’est comme voir la lumière au bout du tunnel »

Vainqueur de la dernière étape de la Vuelta a Castilla y Léon, Rubén Plaza a fait coup double en remportant également le classement général. Après deux années difficiles, l’Espagnol renoue avec la victoire quatre ans après son succès de champion d’Espagne sur route. « Cela faisait presque quatre ans et après tout ce qui s’est passé, c’est une victoire importante, s’est réjouit le coureur de la Movistar. Je savais que j’étais bien parce qu’après la Volta, j’ai passé dix jours à la maison pour récupérer et m’entraîner et les sensations étaient bonnes, mais de là à gagner … L’idée était de nous jouer la victoire avec Javi Moreno. Il a démarré plusieurs fois sans trouver le trou. Je savais que je pouvais prendre le général. »

Le coureur de la Movistar sait qu’il revient de loin. En 2011, il avait été victime d’une lourde chute sur le Tour de Murcie. Le bilan était lourd avec une double fracture tibia-péroné. « Intérieurement, cette victoire signifie beaucoup, explique Plaza. C’était un défi personnel et je ne nie pas que parfois, à certains moments, j’avais quasiment perdu tout espoir de renouer avec la victoire. Mais je sais par quoi je suis passé ces deux dernières années. Une grave blessure qui m’a obligé à repartir quasiment de zéro car cela m’avait laissé sans musculature. Cette victoire c’est comme voir la lumière au bout du tunnel. Et je veux la dédier au médecin qui m’a opéré, Ignacio Ginebreda, et au physiothérapeute, Jordi Reig, qui étaient en charge de ma réhabilitation, car sans eux je n'aurais pas pu revenir. »

Le Tro-Bro aura fait des dégats chez nous

Après Velasco c'est Tim Declercq qui s'est retrouvé à l'hôpital : visage amoché et main gauche cassée

Greg Van Avermaet @GregVanAvermaet

I will also start in Liege next sunday. Nice way to finish my big classic period and time to recover after it! #LBL

Vaugrenard : « On se rapproche des meilleurs »


Dimanche dernier, Benoît Vaugrenard a terminé meilleur Français sur Liège-Bastogne-Liège, à la onzième place. Quatre ans après avoir fini huitième de cette même course, il est de retour dans sa meilleure condition. Pour Velochrono, le Vannetais est revenu sur cette journée rassurante qui lui permet de tirer un trait sur une période creuse de sa carrière, deux ans après avoir souffert d’une mononucléose.
« J’arrivais dans le flou, mais je savais que je marchais bien »
J’aurais aimé terminer dans les dix premiers pour pouvoir ramener des points supplémentaires à l’équipe, mais je ne pouvais pas faire mieux.Sur Liège-Bastogne-Liège, on attendait surtout Pierre Rolland pour hisser le plus haut possible le drapeau français. Mais c’est Benoît Vaugrenard qui s’est montré dimanche dernier le plus performant dans le camp tricolore, en terminant à la onzième place de la Doyenne. Pas si loin de Daniel Martin et au milieu d’un groupe de costauds comprenant notamment Philippe Gilbert et Simon Gerrans : ce qu’il manquait au coureur de l’équipe FDJ, ce n’était qu’une poignée de secondes. « J’ai vraiment réussi une belle performance, savoure-t-il auprès de Velochrono. J’aurais aimé terminer dans les dix premiers pour pouvoir ramener des points supplémentaires à l’équipe, mais je ne pouvais pas faire mieux. J’ai couru juste et fait mon maximum. » Le Breton estime qu’il n’a « rien à regretter », pas même un scénario qui lui aurait permis de terminer encore plus près des meilleurs. « Devant moi, ce ne sont pas n’importe quels coureurs. »
Benoît Vaugrenard a le droit de se contenter de cet accessit : il revient de loin et se félicite avant tout d’avoir retrouvé enfin de bonnes sensations après deux dernières années faites « de hauts et de bas » et passées à se soigner : « En 2011, j’ai eu un virus qui a pris plus de temps que prévu à guérir. Et la saison passée, j’ai eu un problème au genou. Cela faisait donc un bail que je n’avais pas joué un rôle majeur sur ce genre de course. Forcément, j’arrivais un peu dans le flou, mais je savais que je marchais bien. Cet hiver, j’étais plus régulier. A l’entraînement, je récupérais bien. C’était un signe. Sur l’Amstel Gold Race, j’étais présent, pas trop loin des premiers (22e, ndlr). Ce qui m’a donné des ambitions pour Liège. Toute la semaine, je me suis bien senti. » Adieu les soucis.
« Ce scénario, je m’en doutais quand même »
Le résultat de Benoît Vaugrenard sur Liège-Bastogne-Liège, compte tenu de possibilités pleinement retrouvées, n’est pas étonnant : il a toujours brillé sur ces classiques ardennaises et sa onzième place sur la Doyenne n’est d’ailleurs pas son meilleur résultat sur l’épreuve : il avait terminé huitième en 2009. « C’est vrai que ces épreuves m’ont toujours souri, continue-t-il. Je ne sais pas trop pourquoi, mais disons que c’est une période de l’année où je me sens bien. Au mois d’avril, j’ai toujours été en forme. Je ne suis pas un grand grimpeur, mais le parcours me convient bien. Je passe assez facilement les bosses et j’aime les courses longues. » Tout le panel du classicman en quelque sorte, et on ne peut pas dire que l’absence de la Roche aux Faucons ait perturbé ses sensations dominicales.
Reconnaissant que le changement du tracé a rendu « la course moins difficile » et « plus ouverte », il s’est félicité que les téléspectateurs et les supporters aient pu observer « un beau petit spectacle. » « Sur la Roche-aux-Faucons (bosse absente du parcours 2013, ndlr), on était souvent une soixantaine, et là ça explosait, explique-t-il. Avant, c’était court mais raide. Cette fois la nouvelle ascension, c’est une grande route, avec du 6-7 %. Cela passe vachement mieux. Au pied de Saint-Nicolas, il y avait encore beaucoup de coureurs. Ce scénario, je ne le connaissais pas, mais je m’en doutais quand même. Au niveau tactique, ça change un peu la donne car dans le final, on ne sait pas trop ce qui se passe. »
Dunkerque, stage, Dauphiné, Championnats de France
La FDJ, AG2R… ça montre qu’il y a du changement. Il suffit de regarder mon résultat.Satisfait que tout le monde ait « respecté les consignes » au sein de son équipe et « couru intelligemment », Benoît Vaugrenard loue par ailleurs la bonne santé du cyclisme français sur les épreuves majeures du calendrier. « On n’a rien à envier aux grosses équipes, juge-t-il. Avec Damien Gaudin et Mathieu Ladagnous, on l’a vu sur les Flandriennes. Les Ardennaises, ce fut plus compliqué, mais on se rapproche des meilleurs. Romain Bardet, avec plus d’expérience et de caisse, il sera en mesure de jouer la gagne. La FDJ, AG2R… ça montre qu’il y a du changement. Il suffit de regarder mon résultat. Là, je termine à 18 secondes du vainqueur. Il y a quatre ans, je finissais huitième, mais à 1’30 d’Andy Schleck. Cela donne des ambitions pour les prochaines années et les semaines qui viennent. »
A commencer avec les Quatre Jours de Dunkerque (1er au 5 mai) qu’il va finalement disputer après réflexion. « Au départ, j’avais prévu de couper après les classiques, confie-t-il. Ce n’est qu’après Dunkerque que je vais m’arrêter, finalement, avant un stage en montagne, puis le Dauphiné et le Championnat de France. Là, je vais essayer de profiter de ma forme actuelle pour m’illustrer. » Benoît Vaugrenard a les moyens de renouer avec le succès, trois ans quasiment jour pour jour après sa dernière victoire… sur la cinquième étape des Quatre Jours de Dunkerque, justement. « Oui, ce serait bien de gagner une course. J’aimerais bien lever les bras. A Dunkerque, il y a toujours une étape difficile, généralement celle du Mont Cassel. On verra bien, mais je vais déjà essayer de bien récupérer. »


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