Panini Cycling Team - olaf

Jay Robert Thomson dans son maillot de champion d'Afrique du Sud

Nocentini : « Il est bon d’avoir toujours un peu plus de compatriotes »

Apprendre le Français, c’est aussi le défi extra-sportif de Davide Appollonio, qui semble ne pas avoir tardé à trouver ses marques : « Je me sens vraiment bien dans cette équipe, l’expérience française est enrichissante. » S’il est de plus en plus facile pour les coureurs transalpins de s’acclimater à l’équipe AG2R La Mondiale, c’est aussi parce qu’ils sont désormais au nombre de cinq, avec Matteo Montaguti et Domenico Pozzovivo. Même Rinaldo Nocentini, présent de longue date dans les rangs ciel et terre, s’en réjouit : « Le groupe est vraiment rempli de talent. Cette colonne italienne est importante. Les Français sont aussi d’excellents gars, mais il est bon d’avoir toujours un peu plus de compatriotes. » C’est d’ailleurs au tour de Nocentini d’entrer en jeu ce samedi à Prati di Tivo, avec une arrivée en altitude. « Je chercherai à être présent car je suis vraiment en bonne condition. L’année passée, le podium m’avait échappé d’un rien… Je pars pour la victoire. » Si Noce y arrive, c’est peut-être Vincent Lavenu qui se mettra à apprendre l’Italien.


Lire la suite sur Velochrono.fr - http://www.velochrono.fr/actu/2013/la-colonie-italienne-dag2r-la-mondiale/#ixzz2N1cN8ri7

Team Argos-Shimano ‏@1t4i
After some muscle problems for @johndegenkolb yesterday, he will be back on the bike for todays stage #TirrenoAdriatico #1t4i

Merci de l'info

De toute façon aujourd'hui je ne dois pas attendre quelquechose de lui

olaf a écrit:

Merci de l'info

De toute façon aujourd'hui je ne dois pas attendre quelquechose de lui

-----------

Sentjens 8ème à Drenthe

John Degenkolb s'est retiré de la quatrième étape de Tirreno-Adriatico aujourd'hui. L'Allemand de 24 ans a quitté la course en raison de douleurs musculaires.

«Hier, après l'étape, il s'est plaint de douleurs musculaires à la cuisse droite", a déclaré le médecin de l'équipe Kempers Robert. «Aujourd'hui, il sentit la même douleur , alors il a décidé de quitter la course par mesure de précaution. Sa forme est bonne, et nous ne voulons pas prendre de risques avant les prochaines courses. Ce soir, nous allons faire un plan sur la façon de traiter ce problème. "

Degenkolb est toujours géné à une des ses cuisses : pas l'idéal pour MSR

Victoire de Kenny De Haes aujourd'hui sur la Handzame Classic

Et chute après la ligne...

Oui merci j'avais lu cela

Le grand père qui le prend en photo derrière ...

On3 a écrit:

Le grand père qui le prend en photo derrière ...

Ca peut paraître glauque ou très mal venu, et pourtant c'est presque devenu "légitime". Aujourd'hui, tout le monde peut avoir son moment de gloire en prenant une photo ou une vidéo, si personne n'est là pour le faire. Combien de fois voit-on des photos/vidéos amateurs jusque dans le journal télé ? Parce que les gens ont eu la "chance" d'être au bon endroit au bon moment et qu'ils ont su être opportunistes, ils peuvent même se faire de l'argent. C'est devenu un réflexe.
L'an passé, sur le championnat de France de l'avenir, une femme a fait le tour de la tribune presse après une course pour essayer de vendre les images d'une chute qui avait eu lieu pendant la course. Ca m'avait un peu surpris, mais en y réflechissant bien, c'est le genre de truc qui arrive tous les jours.

Kenny De Haes (Lotto - Belisol Team) a remporté ce vendredi la Handzame Classic (1.1). Il s’est imposé de peu au sprint devant Kenny van Hummel et Danny van Poppel, tous deux coureurs de l'équipe Vacansoleil - DCM. Le coureur Belge a signé sa deuxième victoire de la saison après son succès au Trophée de Palma de Majorque (le 3 février dernier).

Malheureusement, après avoir passé la ligne en vainqueur, le coureur originaire de Ukkel a chuté lourdement, mais sans gravité. Il s’est exprimé sur cet événement et sur sa victoire à la RTBF : "Je me suis retrouvé en tête très loin de la ligne d’arrivée. Kenny van Hummel est bien remonté, mais je savais que j'avais gagné quand j’ai passé la ligne. J'ai alors fait le signe de la victoire et à ce moment-là, le vent a soufflé dans ma roue avant et je suis tombé lourdement. Mon épaule a heurté la barrière, mais dans l'ensemble les dommages ne sont pas trop graves. Maintenant je vais me remettre au service de mes coéquipiers pour les Classiques comme Jurgen Roelandts et Jens Debusschere".

Vendredi passé nous avons fait signer Iljo Keisse qui devient notre 30 ième coureur : bienvenue à lui

Devolder : « Faire face à la réalité »

Par Jerome Christiaens
Mercredi 20 mars 2013 - 18:30


Stijn Devolder a gagné deux fois le Tour des Flandres, et on a tendance à l’oublier. En 2011 et 2012, il courait chez Vacansoleil et s’est petit à petit fait oublier, ne parvenant pas à obtenir de résultats dans une équipe qui lui avait confié les clés pour les classiques pavées. Aujourd’hui coureur de RadioShack, le Belge a pour rôle d’aider Fabian Cancellara, et cette position lui plait davantage. Car sa timidité fait qu’il « n’aime pas être le centre de toutes les attentions ». Velochrono s’est entretenu lui.
« J’étais très mauvais, j’étais nulle part »
Je savais que l’équipe comptait sur moi, mais j’étais surtout déçu de moi-même. Forcément, quand ça ne fonctionne pas, tu ne te sens pas bien. C’est normal.« Ces deux dernières années, il était nulle part, et j’ignore pourquoi. Mais clairement, il était hors de forme, et je continue à croire qu’en faisant les choses comme il le faut, il peut à nouveau gagner des courses. » Dirk Demol parle ici de Stijn Devolder. Le Belge, double vainqueur du Tour des Flandres mais assez invisible depuis, est retourné en terrain connu cet hiver en signant chez Radio Shack, équipe où il retrouve pas mal de personnes avec qui il a déjà travaillé, notamment à l’époque de la Discovery Channel. « Je me sens vraiment bien dans cette équipe, assure le coureur belge à Velochrono. Il y a de très bons coureurs et un excellent esprit collectif. Beaucoup d’ingrédients sont là pour que l’on effectue une très belle saison. Sincèrement, sur les classiques, il se peut que l’on ait la meilleure équipe. Vacansoleil et Radio Shack, ce sont vraiment deux réalités totalement différentes, de mon point de vue. Car ici, je retrouve pas mal de coureurs avec qui j’ai déjà couru, et je connaissais déjà une bonne partie du staff. »
Notamment Dirk Demol, dont la présence est importante pour Stijn Devolder. « J’avais besoin de le retrouver, confirme-t-il. Avec lui, on abat un gros travail de base dont je ressens désormais les effets. J’ai retrouvé confiance grâce à ses encouragements et ceux de l’équipe. Je me retrouve, alors que l’an dernier, j’étais très mauvais, j’étais nulle part. » Ce sont les perspectives plus heureuses que lui offrent Radio Shack qui l’incitent à tourner avec plus de fatalisme et de sérénité la page Vacansoleil. Jusqu’à son transfert, il n’arrivait pas à trouver l’échappatoire : « Tu ne peux pas gérer la situation… Tu peux parfois être très bien et passer à côté de ton sujet… C’est difficile de parler après coup. Je savais que l’équipe comptait sur moi, mais j’étais surtout déçu de moi-même. Je n’étais pas capable d’aller chercher de bons résultats. Forcément, quand ça ne fonctionne pas, tu ne te sens pas bien. C’est normal. » Aujourd’hui, le Belge assure qu’il va mieux et se sent apte à se rapprocher du devant de la scène. Tout en gardant en tête « qu’il n’existe pas de garantie d’y parvenir, qu’il faut faire face à la réalité… »
« Son meilleur rôle, c’est quand il est lieutenant »
Je pense que certaines unions ne sont tout simplement pas faites pour réussir.Ces dernières semaines, Dirk Demol a vu Stijn Devolder « s’améliorer », ne pas « cesser de progresser ». Le dirigeant belge est lui aussi confiant « quant à ce qu’il revienne à l’avant des courses ». Mais tout n’est pas une question de dispositions physiques : ce discours optimiste trouve sa source dans un changement de statut salutaire pour ce coureur « timide », qui « n’aime pas être le centre de toutes les attentions ». « Son meilleur rôle, c’est quand il est lieutenant, explique Demol. C’est comme cela qu’il a réussi à gagner le Tour des Flandres, lorsque Tom Boonen était son leader. Quand tout va bien dans sa tête, c’est un gars qui est et reste capable de grandes choses. » « Je préfère cette position, confirme l’intéressé. J’ai vécu deux mauvaises saisons, lors desquelles j’étais absent dans le final des classiques. Je veux à présent me relancer et mon rôle va me le permettre, car en devant aider au maximum Fabian Cancellara, j’aurai la possibilité d’être présent avec lui là où la course se joue. »
Chez Vacansoleil, peut-être attendait-on trop de Stijn Devolder pour qu’il trouve les circonstances propices à un retour au top. Un exploit a tout de même failli être réalisé par le Flandrien, mais loin de ses terres : c’était sur la Clasica San Sebastian, course où il s’est retrouvé seul en tête après le Jaizkibel. « À ce moment-là, je sais que je réalise quelque chose de bien, mais je sais aussi que je suis loin de la condition qui était la mienne quand j’ai gagné le Tour des Flandres », tempère-t-il, peinant à faire ressortir les rares bonnes notes de son bail dans l’équipe néerlandaise, qui à son sens n’a « pas fonctionné à cause d’un ensemble de conditions. » « Je n’arrive pas encore à comprendre le pourquoi de cet échec, ressasse-t-il. Cela ne vient pas uniquement de l’équipe : chacun a fait de son mieux pour que ça marche. C’est ainsi… Je pense que certaines unions ne sont tout simplement pas faites pour réussir. »
Cette succession de Flandrienne, c’est le premier point central de ma saison. J’ai tout fait pour revenir en forme.à voir à présent si la tendance va s’inverser. « Mon début de saison a été bon, affirme-t-il. Puis j’ai pu peaufiner ma condition sur Tirreno-Adriatico. Je suis sorti de cette course avec de bonnes indications sur ma forme. J’ai depuis récupéré, j’ai fait une longue sortie le week-end de Milan-Sanremo, et j’ai participé à À Travers la Flandre (il a terminé 62e mais a pris part à la bagarre finale, ndlr). Je vais enchaîner avec le GP E3 et Gand-Welvelgem, le week-end prochain, avant de disputer le Tour des Flandres puis Paris-Roubaix. » Ces deux monuments qui sont, évidemment, ce qui importe le plus pour lui. « Je suis né et je vis entre les routes de ces deux courses, sourit-il. J’ai grandi avec le pavé dans le sang… Cette succession de Flandriennes, c’est le premier point central de ma saison. J’ai tout fait pour revenir en forme pour cette période. » Alea jacta est.


Lire la suite sur Velochrono.fr - http://www.velochrono.fr/actu/2013/devolder-faire-face-a-la-realite/#ixzz2O72v0YSk

Stijn Vandenbergh en action pendant Dwars door Vlaanderen

Hayman lors du sprint

Stijn Devolder en action cet après-midi

Hayman sur le podium

Devolder se dit rassuré par sa course à l'E3
Malgrès sa chute avec Rojas il a pu revenir dans le peleton et a essayé de reoindre le groupe de tête mais n'y est par parvenu
Mais il dit que sa condition est bonne

Greg Van Avermaet ‏@GregVanAvermaet :

Happy with the condition not with my race and the result. Lucky we had a strong @Daniel87Oss in front!

Bronchite pour Thomson
Infection des voies respiratoires pour Declercq

Van Avermaet 3 ième aujourd'hui lors de Gent-Wevelgem