Panini Cycling Team - olaf

On se sépare de SENTJENS qui a pris sa retraite et on engage donc NISHITANI Taiji et YOUNG Eric
Un japonais et un américain : deux nationalités que nous n'avions pas encore

Les Quatre Jours de Dunkerque n’ont pas commencé sous les meilleurs auspices dans le Nord de la France pour IAM Cycling. Si Matteo Pelucchi s’est classé 11e du sprint massif de la première étape gagnée par Arnaud Démarre (FDJ), Eddy Seigneur a passé la fin de sa journée à l’hôpital de Lille en compagnie de Kristof Goddaert. Le directeur sportif de IAM Cycling ne s’est pas gêné de dire tout le mal qu’il pensait de l’attitude de certains coureurs : "Kristof a purement et simplement été expédié au sol par un coureur. Je ne suis pas loin de vouloir porter plainte car cette attitude est intolérable dans un peloton. A 4 km de l’arrivée, Kristof a été victime d’une agression et il s’est retrouvé dans un bas-côté garni de ronces. Il souffre de plaies au visage, au coude et au genou droit."

Confirmé par Goodaert

	Kristof Goddaert @KristofG13	15h
	First stage of #4JDD didnt Go like i wanted,crash at 8km 2go,Result broken big toe and my right knee who looks like eaten by a lion #unhappy

15 jours d'arrêt pour Kristof Goddaert

Sa lourde chute survenue dans le final de la 1re étape des 4 Jours de Dunkerque ne s’est pas révélée sans conséquences pour Kristof Goddaert. Le coureur de IAM Cycling a passé une bonne partie de sa soirée de mercredi à la clinique de Lesquin. Les médecins se sont occupés d’une plaie profonde au genou droit. Après une révision chirurgicale, une dizaine de points de suture ont été nécessaire. Une radio de contrôle de son pied droit a aussi révélé une fracture non déplacée du premier orteil. Rentré le soir même à son domicile belge en compagnie d’un membre de sa famille, Kristof Goddaert devra observer une pause d’au moins 15 jours.

Engoulvent : « Revenir au top avant le Tour »

Les Quatre jours de Dunkerque, qui ont commencé mercredi, se disputent sans son tenant du titre Jimmy Engoulvent. Le coureur de Sojasun est moins à la fête en cette saison 2013, diminué par une mononucléose. Mais il garde garde le moral et pense à des lendemains meilleurs. Ses premiers mois difficiles et ses futurs objectifs… Jimmy Engoulvent s’exprime sur Velochrono.
Un début de saison à oublier
Flashback un an en arrière : Jimmy Engoulvent est en rose et remporte la plus belle course de sa carrière, les Quatre jours de Dunkerque. Après une longue échappée lors de la troisième étape, il a pris la tête du général. Aidé par Anthony Delaplace, il parvient à conserver son paletot dans l’étape des Monts face aux Voeckler, Pineau ou encore Stybar. Cette année, le capitaine de route de Sojasun est… devant sa télévision : « Ça fait un peu drôle de ne pas être sur les Quatre jours. Ce n’est pas évident de faire ce genre de choix, mais après le début de saison que j’ai vécu, je m’imaginais mal arriver sur la course en n’étant pas opérationnel. Donc j’ai fait l’impasse pour essayer de rebondir sur la deuxième partie de saison. » Engoulvent se veut malgré tout rassurant sur son état de santé : « Je me sens mieux. J’ai pu reprendre les entraînements, ça fait plaisir. Pour l’instant je n’ai pas trop insisté pour éviter de prendre un contrecoup. Les sensations ne sont pas mauvaises, mais j’attends de voir en course si c’est vraiment bon. »
Tout mon début de saison a été pourri par cette mononucléose.Depuis sa reprise à l’Etoile de Bessège, Jimmy Engoulvent n’a jamais semblé au top physiquement, malgré quelques échappées, la faute à cette mononucléose détectée tardivement : « Je m’en suis rendu compte après le Critérium International. Avec la prise de sang, on a constaté que je trainais le virus depuis déjà plusieurs mois. » Plusieurs mois de fatigue, mais surtout de doutes : « Tout mon début de saison a été pourri par cette mononucléose, mais le plus embêtant, c’était de ne pas savoir d’où vient le problème. On se met à douter, on se pose plein de questions. Je sentais que j’étais facilement fatigué, mais il n’y avait pas de symptôme apparents. C’était gênant. »
Objectif Tour de France
Jimmy Engoulvent reprendra la compétition au Tour de Picardie à partir du 10 mai. « On a décidé après le Tro Bro Leon que je reprendrais là-bas, explique-t-il. Ça va me permettre de renouer avec la compétition sans que ce soit sur une course trop dure. Le but sera de retrouver un peu de confiance. J’enchaînerai ensuite par le Tour de Bavière, le Tour d’Argovie et le Tour du Luxembourg. Ce sont des courses où il peut y avoir des ouvertures, le genre d’épreuve que j’aime bien puisqu’il faut aller de l’avant pour aller chercher des résultats. » Il enchaînera ensuite avec les Championnats de France. Le Tour de France se sera grandement rapproché. Le Sarthois espère être apte à le disputer pour la sixième fois de sa carrière, mais il fallait d’abord que son équipe obtienne sa wild card, chose faite depuis maintenant quelques jours.
Nos résultats ne sont pas exceptionnels pour le moment. On a du mal à conclure les courses.« Ça paraissait indispensable et ça nous donne du baume au coeur, réagit-il au sujet de cette invitation. Ce n’était pas gagné, parce qu’il y avait une grosse concurrence avec l’équipe IAM. Nos résultats ne sont pas exceptionnels pour le moment. On a du mal à conclure les courses mais on espére que ça va finir par sourire. » Quant à son cas personnel, il l’appréhende donc avec prudence et veut avancer pas à pas : « J’espère dans un premier temps que je vais réussir à revenir à mon top niveau. Si possible avant le Tour… »

Iljo Keisse : "Un honneur pour moi"

Ce samedi, après un sprint chahuté, Mark Cavendish (Omega Pharma-Quick Step) a remporté la première étape du Tour d'Italie. Il s'est emparé du même coup du maillot rose de leader du classement général, avant le contre-la-montre par équipes prévu ce dimanche.

"Au Tour de Turquie, nous voulions combler le déficit de confiance qu'il nous manquait", explique Iljo Keisse (Omega Pharma-Quick Step), à Sporza. "On l'a fait sans Cavendish, mais ce n'était pas grave. Il faudra maintenant qu'on tienne 250 mètres à une bonne allure. C'est un grand honneur pour moi d'avoir été choisi pour être dans le train. Je voulais devenir un meilleur coureur, dans les classiques mais aussi dans les tours", conclut-il.

Thomas de Gendt souffre du genou gauche

Thomas de Gendt (Vacansoleil-DCM), qui se concentre en ce moment déjà sur le Tour de France, semble avoir quelques problèmes pour s'entraîner. En effet, le Belge souffre sur son vélo mais n'en connaît par encore la cause exacte.

"Je peux rouler à vélo, mais il est impossible pour moi de forcer actuellement", explique De Gendt pour le journal Het Laatste Nieuws. "Je ne ressens pas une douleur vive, mais j'ai constamment mal. On cherche toujours la cause. Des semelles dans ses chaussures et une adaptation de sa position sur le vélo n'ont rien donné. C'est décourageant. Et je force sur mon genou droit pour tenter d'épargner le gauche qui me fait souffrir. Ce n'est pas une solution, au contraire", conclut-il.

Bref cela sent la saison pourrie pour lui

Goddaert reprend aujourd'hui sur les rouleaux

John Degenkold "Heureux de revenir aux affaires"


Ne cherchait pas ! Si vous lui trouvez un faux air de gardien de la paix... C’est parce qu’il est policier ! John Degenkolb fait du vélo depuis qu’il est tout petit, initié par son père, grand passionné de cyclisme. Mais ce dernier, connaissant bien ce monde dur et limité à une élite voulait avant tout assuré un avenir à son fils. Alors parallèlement à ses débuts amateurs, Degenkolb a suivi des études pour devenir policier. Il a même obtenu son diplôme final, en même temps qu’il a eu son premier contrat professionnel chez HTC – HighRoad. Maintenant dans le Team Argos, John Degenkolb représente, avec son équipier Marcel Kittel, la nouvelle génération Allemande du sprint. Mais Degenkolb a une palette de terrain plus diversifiée. Ainsi comme l’an passé son début de saison était tourné vers les classiques, et notamment les Flandriennes. Mais, mis à part une 9ème place au Tour des Flandres, il n’a pas décroché les résultats qu’il escomptait. L’an passé il décrochait pas moins de cinq victoires sur la Vuelta. Cette année il ouvre une nouvelle série sur le Giro d’Italia. En attendant peut-être Le Tour de France.


John, était-ce le plus long sprint de votre vie ?
Probablement ! Il y a eu cette chute et je me suis retrouvé seul devant, mais il restait ce coureur de Bardiani... C’était un effort énorme, un véritable sprint d’un kilomètre.



Comment est arrivée cette chute selon vous ? Vous étiez aux premières loges.
Je pense simplement que nous arrivions trop vite dans le premier des deux virages à 90 degrés. Il y avait une grosse bataille à l’avant pour se placer. Par chance personnellement j’ai évité la chute. Je ne l’ai pas très bien vu à vrai dire. Toujours est-il qu’il y avait ce coureur devant, j’ai tout donné pour le rejoindre, les jambes brulaient et après il fallait encore tout donner sur les 350 derniers mètres pour aller jusqu’à l’arrivée qui était en légère monté.


« Une course très prestigieuse et très dure sur laquelle j’avais envie de m’imposer »


Vos équipiers étaient devant, c’est d’ailleurs l’un d’eux qui est tombé. En partant ce matin vous saviez que vous pouviez gagner ?
Oui, j’avais coché cette étape. Je sens depuis le début du Giro que je suis dans une bonne forme, les jambes tournent vraiment bien. Avec la bosse finale, je savais que nous ne serions pas si nombreux à Matera pour nous disputer la victoire. J’avais prévenu mon équipe qui m’était entièrement dévouée.



Pour la plaisanterie, on pourra dire que la chute de votre coéquipier était la tactique gagnante.
(rires...) Je ne savais même pas que c’était un de mes équipiers qui été tombé.


Pourquoi avoir choisi le Giro, alors qu’au final on s’aperçoit que les opportunités pour les sprinters sont assez peu nombreuses.
Justement parce qu’il y a ces arrivées compliquées qui peuvent me sourire. C’est vrai que le parcours ne se prête pas énormément aux qualités des sprinters, mais ça peut aussi être mon avantage. Mais il y a aussi le fait que c’est une course très prestigieuse et très dure que j’avais envie de découvrir et sur laquelle j’avais envie de m’imposer. A Naples j’ai loupé l’opportunité, et ces deux derniers jours étaient un peu trop difficiles. Mais il y avait cette étape d’aujourd’hui et il y aura d’autres opportunités.


« J’abordais cette année avec de grandes ambitions et la victoire ne venait jamais »


Nous nous étions vu lors des Flandriennes, vous n’étiez pas vraiment heureux de votre première partie de saison.
Oui c’est juste... Je m’étais préparé pour les classiques, et tout ne s’est pas déroulé comme je l’avais prévu. Il y a eu ces conditions météorologiques difficiles et j’ai été blessé à la jambe lors de Tirreno-Adriatico, ce qui a quelque peu contrarié mes plans. Il y a eu cette bonne 9ème place sur le Tour des Flandres, mais globalement c’est un bilan qui était en deçà de ce que j’attendais.


Avez-vous doutez ?
Oui je ne peux pas le nier. Quand vous sortez d’une Vuelta où vous obtenez cinq victoires, vous avez énormément de confiance. Tout va toujours mieux quand on enchaine les victoires, tout semble sourire, c’est une spirale positive. Mais j’abordais cette année avec de grandes ambitions et la victoire ne venait jamais avant aujourd’hui. Forcément vous doutez, vous perdez la confiance, vous vous demandez si vous êtes encore dans le coup. Alors cette victoire aujourd’hui est aussi un soulagement. Et j’aimerai particulièrement remercier mes coéquipiers qui eux n’ont jamais douté de moi et m’ont toujours supporté, porté en leader, alors que je ne ramène que ma première victoire de la saison. Je suis heureux de revenir aux affaires.


« Nous avons une responsabilité vis-à-vis du cyclisme Allemand »


Comment avez-vous préparé ce Giro ?
Après Paris-Roubaix, j’ai coupé et je suis rentré à la maison, où je me suis entrainé durant trois semaines. C’était bon de pouvoir se ressourcer, récupérer pleinement après un printemps de classique rendu très éprouvant par les conditions météorologiques et par ces contreperformances.


Au vu de l’effort que vous avez dû livrer pour aller chercher la victoire et de ses doutes qui vous préoccupez jusqu’à maintenant, pensez-vous que c’est votre plus belle victoire ?
Je ne sais pas vraiment pour le moment. C’est sûr que celle-ci s’est vraiment construite dans la souffrance. Elle me fait penser à ma première victoire à la Vuelta l’an passé car c’était ma première victoire en Grand Tour et que c’est quelque chose d’important. Elle me fait aussi penser à ma première victoire en World Tour, au Critérium du Dauphiné.


Nous vous avons déjà entendu évoquer votre responsabilité dans le renouveau du cyclisme Allemand. Pouvez-vous nous expliquer ?
Je pense en effet que la nouvelle génération Allemande, que ce soit par moi, mon coéquipier Marcel Kittel ou encore Tony Martin, nous avons une responsabilité vis-à-vis du cyclisme Allemand car nous arrivons après une période, qu’on sait très difficile et néfaste pour l’image du cyclisme en Allemagne. Il faut que les choses changent, que les mentalités évoluent, que le cyclisme Allemand se donne une nouvelle image, celui d’un sport responsable. C’est pour ça que j’estime que nous avons des obligations d’être clairs, d’être transparents… afin que les jeunes qui se mettent actuellement au cyclisme ne trouvent plus la vieille école d’il y a 15 ans, mais quelque chose de conforme à l’image du cyclisme qu’on voudrait voir. C’est à nous d’ouvrir la voix. Sinon qui d’autres ?!

Vidéo de la victoire de Degenkolb

Photo du podium

Programme de Van Avermaet pour la suite de la saison :

Tour de Belgique, Tour de Suisse et Tour de France

Problème de genou pour Vandenbergh

Nishitani lors de sa seconde victoire :

Keisse a fait la moitié du Giro avec un os de la main gauche cassé !!! Et cela suite à coup de portière d'une voiture après la fin de la 11 ième étape

Il est dans le plâtre pour 3 semaines

Le scanner passé en Italie n'avait rien révélé mais en Belgique bien

De Gendt aujourd'hui :

Seeldraeyers aujourd'hui :

Stef Clement : "Surpris de ce que j'ai fait"


Dans les sept coureurs qui ont accompagné le groupe Froome, emmené longuement par Alberto Contador, on n’a pas été surpris de trouver un coureur du Team Blanco. Mais quand on s’est aperçu qu’il ne s’agissait pas d’un Hollandais barbu mais d’un coureur au visage plus dégarni, il nous aura peut-être fallu un petit moment pour comprendre de qui il s’agissait. Et ce n’était autre que Stef Clement, le multiple Champion des Pays-Bas contre-la-montre.


"Je suis surpris de ce que j’ai fait aujourd’hui mais depuis le Giro je me sens très bien. Il me reste trois jours de compétition avant les vacances (ndlr : la dernière étape de ce Critérium du Dauphiné, et les Championnats nationaux clm et en ligne), alors je n’ai rien à perdre et je peux tout donner. Cette performance me fait plaisir, c’était spécial. Mais je dois encore gagner ma place pour la Vuelta au sein de l’équipe Blanco. Pour demain, on verra, je fais au jour le jour en fonction des sensations et du parcours. Au début j’ai attendu Laurens Ten Dam mais dès que j’ai compris qu’il ne reviendrait plus j’ai joué ma carte. Il a été distancé dans la partie la plus difficile du parcours et après c’était lui contre Contador qui menait un gros train devant. J’étais surpris de l’attaque de Porte dans le final, je pensais qu’il roulerait pour Froome jusqu’au bout."

Riblon fera le CLM lors du championnat national avec Bouet et Peraud

Willems qui relance Greipel :

Jimmy Engoulvent: "Une affaire de spécialistes"

 
Et de quatre pour le coureur de l'équipe Sojasun qui s'élancera ce jeudi avec le maillot jaune de leader. "J'ai préparé ce rendez- vous spécialement et cela a payé. C'est le type d'épreuve que j'apprécie. Venir à Luxembourg est devenu pour moi un passage obligé. Ce prologue mérite d'être connu. Ce succès était un objectif. C'est le genre d'exercice qui demande un travail spécifique: c'est intense et court et les spécialistes du chrono ne sont pas toujours avantagés. Au contraire."
 
"C'est vraiment pour les sprinters et les coureurs puissants. C'est le sprint le plus long de l'année.
 
Jimmy Engoulvent a donc rempli son contrat. La suite par contre s'annonce plus difficile. "La défense de ce maillot n'est pas une priorité. Les étapes de ce Tour de Luxembourg s'annoncent très difficiles", concluait le premier leader de l'édition 2013 qui a signé ce mercredi soir sa première victoire de la saison.
 

Victoire de Kenny De Haes aujourd'hui à Halle Ingooigem :

Bravo Olaf content pour toi de cette victoire.

Sacrée saison de Kenny de Haes! 

Belle pioche que ce coureur

Nicosix a écrit:

Sacrée saison de Kenny de Haes! 

Belle pioche que ce coureur

Merci les gars

Sinon c'est la 4 ième saison que Kenny est chez nous et on a toujours cru en lui
Il avait battu Boonen au sprint il y a quelques années et il ne pouvait pas avoir perdu toutes ses qualitées de sprinteurs

Cette année il a rebossé son sprint avec le coach de Nys et il a un programme où il n'est pas souvent avec Greipel
De plus il vise des courses à sa mesure
Il ne sera jamais un caid des sprints de GT mais sur ce genre de courses il a ses chances